Nous sommes prisonniers d'un pouvoir cynique et menteur, qui est responsable du tour dramatique pris par l'épidémie de covid 19 et maintenant l'utilise à son profit. Ce gouvernement nous enferme et nous abreuve de propagande grossière. Les masques sont inutiles, testés toute la population n'aurait pas de sens. On réouvre les écoles le 11 mai pour lutter contre le décrochage scolaire... Il cherche à nous diviser. Fin du confinement le 11 mai, mais 18 millions de personnes devront rester confinés. Ce qui fait quand même plus du quart de la population! Choisie par qui? Contrôlée comment?
Ne rêvons pas. Toutes les tendances autoritaires et antisociales du régime vont être décuplées à la faveur de l'épisode actuel. C'est dés maintenant que doit commencer la bataille pour la rupture.
Une des forces du pouvoir c'est de contrôler l'information scientifique et le fonctionnement du système de santé. Le point clé de cette stratégie, qui est en même temps un point aveugle, c'est cette idée que nous avons tous plus ou moins consciemment intégré, à savoir qu'il n'y a pas de traitement contre le covid 19. Qu'il ne nous reste qu'à subir en attendant des jours meilleurs qui viendront si nous nous comportons en enfants sages. Or, c'est évidemment faux. Les test généralisés et le port de masques est bel et bien une méthode pour lutter contre l'épidémie. L'exemple de l'Allemagne, après la Corée du sud le prouve. Mais face à une maladie, il y a aussi le boulot de tous ces médecins qui soignent quotidiennement les malades et tentent de mettre au point les réponses les plus efficaces avec les armes qui sont les leurs, à un moment donné. Mais notre gouvernement ferme autoritairement cette porte en interdisant aux médecins de ville de faire leur boulot face au covid19 et en leur refusant les moyens de le faire, masques, protections, tests, médicaments, tout est rationné, tout est sous contrôle. Il a lancé une campagne de discrédit contre le seul traitement pratiqué en France, celui mis au point à l'IHU Méditerranée à Marseille. Il interdit son utilisation en ville, comme à l'hôpital, malgré des résultats positifs évidents. En attendant quoi? Mais qu'un des ces tout puissants laboratoires ait mis au point le médicament miracle (certifié par l'EBM et breveté ) ou le vaccin indispensable (certifié par l'EBM et breveté ). Gilead - actionnaire principal Black Rock, on ne le répètera jamais assez - est un de ceux qui s'est donné les moyens de peser sur les décisions politiques. Et ça paie. A 12h aujourd'hui à la bourse de Paris l'action de Gilead Sciences gagnait 14% . Pas encore de médicaments, mais déjà des profits. C'est pas beau la vie avec Covid19?
Une des conséquences les plus scandaleuses de cette politique, c'est de laisser mourir sans soin les pensionnaires des EHPAD dont le personnel est exposé et désarmé.
Aussi, faire circuler l'information scientifique est un élément important pour se réapproprier le pouvoir de décision.
Ces derniers jours une nouvelle piste de lutte est explorée et peut s'avérer payante. Le mise au point d'un médicament prophylactique, sur le modèle de ce qui se fait contre le paludisme. Un médicament que l'on prend préventivement et qui protège de l'invasion virale. Depuis le 8 avril, l'Institut Pasteur expérimente l'Hydroxychloroquine (HCQ) rendu célèbre par le protocole de l'HU Méditerranée. L'AP-HP s'est à son tour lancé dans une vaste expérimentation des deux molécules l'Hydroxychloroquine (HCQ) et l'Azithromycine (AZT) . J'ai déjà souligné le cynisme que représentait cette expérimentation sur le personnel soignant, d'un médicament interdit aux malades ordinaires, car supposé dangereux et inefficace!
Hier soir, l'IHU Méditerranée publiait sur son site les résultats prometteurs d'une expérience de laboratoire, qui va dans le même sens, et fait intervenir une molécule déjà connue et utilisée elle aussi contre le paludisme, la Doxycycline. L'intérêt d'utiliser des molécules connues, c'est la facilité et le faible coût de leur production. C'est surtout de bien connaître leurs effets secondaires. Il faut souligner que la Doxycycline est bien toléré, aux doses prescrites, pendant plusieurs mois. Je vous livre ci-dessous la présentation du travail en anglais de laboratoire.
Identifying effective antiviral drugs is urgently needed. An efficient approach to drug discovery is to evaluate whether existing approved drugs can be efficient against SARS-CoV-2. Doxycycline, which is a second-generation tetracycline with broadspectrum antimicrobial, antimalarial and anti-inflammatory activities, showed in vitro activity against SARS-CoV-2 with median effective concentration (EC50) of 5.6 ± 0.4 µM. Doxycycline, with its antiviral and anti-inflammatory activities, could be used in prophylaxis of COVID-19 at 100 mg day in combination with chloroquine, or in treatment at 200 mg day during 10 days in combination with hydroxychloroquine.
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Et voilà la conclusion:
Doxycycline, used as malaria prophylaxis, was well tolerated at the dose of 100 mg/day during several months [23]. Additionally, doxycycline has been recommended at 100 mg twice a day during 10 days for post-exposure prophylaxis of anthrax. This dose can even been taken by children below 8 years old [24]. Doxycycline could be used in prophylaxis of COVID-19 at 100 mg day in combination with chloroquine at 100 mg day, which inhibits the entry of SARS-CoV-1 in cells [25], or in treatment at 200 mg day during 10 days in combination with hydroxychloroquine. At these doses currently used for other indications, doxycycline could be rapidly evaluated in clinical trials in COVID-19.
Espérons que ce traitement pourra rapidement être évalué dans des essais cliniques contre le Covid19.
Ceux qui voudront lire le compte-rendu intégral le trouveront sur le site de l'HU Méditerannée à la rubrique communication, sous rubrique actualité.