Je connais bien Mme X et son histoire que j'ai suivie avec inquiétude m'interpelle.
Les faits
Sur le plan médical, on retiendra que Mme X a 65 ans, qu'elle souffre d'un diabète lié à son poids, variable mais plutôt en excès. Donc une personne à risque face à la covid19. Son médecin référant sera un tantinet plus volontariste, puisqu'il lui annonce que dans son cas le vaccin est obligatoire.
Mme X sera donc vaccinée avec le Pfizer, comme la majorité des français. Une fois, deux fois. Et c'est là que ça dérape.
15 jours après la deuxième injection Mme X tombe gravement malade. Brutalement. Fièvre, toux, mots de tête, grande fatigue, sensation d'étouffer. Mme X pense immédiatement à la covid. Mais pour son médecin, c'est exclut puisqu'elle est vaccinée, donc immunisée. Et c'est lui qui lui a prescrit la vaccination. Pour être certain de ne pas être contredit par les faits, il refuse de lui prescrire un test!
Malheureusement, la maladie persiste. C'est une pneumonie, confirmée par un pneumologue. La radio montre que le poumon est atteint. Pour le corps médical, la cause de la pneumonie, c'est un "refroidissement". Peu crédible au début de l'été dans le sud de la France, mais personne ne veut parler de la covid19.
Un antibiotique inefficace, puis un deuxième mieux adapté. La ventoline, des corticoïde... il faudra deux mois pour que Mme X se remette. Et encore, avec des séquelles sur les poumons et le système cardio vasculaire.
Mme X vit maintenant dans la hantise de la troisième injection. Car évidemment son médecin lui a prescrit une troisième injection!
L'interprétation
L'interprétation se situe à deux niveaux.
Sur le plan médical, l'exemple de Mme X ne signifie pas que les choses se déroulent ainsi pour tous ceux qui se font vaccinés. Par contre, les choses peuvent se dérouler ainsi. Mme X n'est certainement pas la seule et il serait important de collecter les situations malheureuses de ce type.
Mme X est convaincue qu'elle a bien été victime d'un covid grave. D'autant plus que le pneumologue lui a glissé que son état aurait pu être plus grave, si elle n'avait pas été vaccinée contre la covid! Or c'est exactement le danger de la vaccination par ARN messager décrit par le virologue Christian Velot. Certains anticorps produits à la suite du vaccin par ARN peuvent, au contact du virus, se transformer en cheval de Troie et faciliter la pénétration du virus dans les cellules. Le patient vacciné court un danger particulier pendant les 21 jours qui suivent la deuxième injection. Ce fait est confirmé par la remontée de nombreux cas indésirables. Il est évidemment très important de documenter ces situations, de les analyser et de repérer leur fréquence, pour améliorer notre compréhension du phénomène.
Sur le plan de la santé publique le bilan est encore plus grave. Il n'y a eu aucun signalement du cas de Mme X. Le médecin a refusé de la tester pour la covid19. Le bilan officiel de son cas se résume ainsi. Vaccinée sans problème. Puis une pneumonie, sans rapport ni avec le vaccin, ni avec la covid19. Circulez il n'y a rien à voir.
C'est exactement de cette façon qu'un système bureaucratisé et corrompu se suicide. Toute information qui sort de la doxa officielle est rejetée. Les lanceurs d'alerte sont ridiculisés et muselés. Et on perd contact avec la réalité.
Je pense que le temps passant, nous sommes nombreux à avoir accumulé des informations et des expériences qui ne cadrent pas avec le discours officiel et sont systématiquement effacées du tableau.