Tout comme l’Europe, non plus dirigée par nos hommes politiques, les états unis d'Amérique sont en manque de solidarité. C'est en effet dans les coups durs que l'on peut voir la solidarité s'exercer entre les hommes. Finit la récrée. Le compte à rebours de deux crises, l'une bien-sûr due au méchant virus, et l'autre qui avait déjà commencé avant, celle du monde de la finance.
Je ne suis pas un expert, mais en cas de crise, nous devrions voir que l'or, cette valeur refuge, monte. Dans les faits il n'en est rien car les grands argentiers n'ont plus de liquidités, et qu'ils sont obligés de vendre de l'or pour retrouver un semblant de marche de manœuvre. Et comme quand vous avez un seau percé que vous essayez de remplir, les banquiers ouvre les vannes.
Et c'est ce tictac que nous entendons, celui d'une bombe qu'on ne peut arrêter.
En France, notre président et sa clique, s'évertue à vouloir nous rassurer et utilise à un degré jamais atteint, même en temps de guerre, la propagande pour masquer l'ampleur des dégâts à venir.
Je suis allé faire des courses, et j'ai effectué un petit sondage pour voir ce que pensait le qui dame.
Je suis rassuré, quand au degré de compréhension de nos compatriotes. Mais pas du tout par l’exécutif.
Un grand merci au Pr Eric CAUMES, qui avec trois mots, a descendu en flèche toutes la communication de notre gouvernement.
Le problème c'est que nous n'avions pas besoin du virus, alors qu'une bonne crise financière était nécessaire pour exacerber le folie de ce monde et des gens qui dirigent la finance.
On ne sait pas quand nos hôpitaux seront débordés mais nous savons que le temps est désormais compté. Face à cette situation, nos ainés seront ils pris en charge au détriment de quelqu'un plus jeune? C'est une question que je n'aimerais pas avoir à me poser.
J'attends avec impatience l'intervention de notre président "poulet de black rock". Et suivant ce que j'entendrai mon prochain billet sera au vitriol ou pas.