Je ne sais pas ce qu'il s'est passé. As-tu décidé de quitter le rafiot Mediapart ou bien Mediapart t'a-t-il balancé par dessus bord ? Le fait est: le temps d'une de ces tempêtes récurrentes sur Mediapart, tu as disparu. Comme d'autres...
Tu aimes les livres, Gilgamesch, et tu sais si bien, à ta façon, transmettre l'âme de ces livres que tu aimes; pour cette unique raison, je sais, Gilgamesch, que tu es quelqu'un de bien. Sensible. Trop peut-être pour supporter la pesanteur mediapartienne. Toute cette poussière sur les idées, les préjugés, les regards d'un autre siècle. Ici, tout est figé, tout est pétrifié.
Il y a quelque part ailleurs, c'est sûr, des contrées plus accueillantes et plus respectueuses et plus tolérantes et qui sauront te reconnaître, Gilgamesch.
Bon vent et bonne vie !
Salut Gilgamesch !