Les vainqueurs de la compétition sont sans surprise dans les premiers du classement mondial : Hideki Matsuyama et Henrick Stendon. Mais le véritable événement de cette rencontre est le tournoi pro-am qui s’est déroulé en première partie de semaine. De nombreux bienfaiteurs ont pu y participer, parmi lesquels on retrouve Christophe Mazurier.
"L'homme d'affaires philanthrope », comme il est souvent appelé dans la presse, a tenu par ce geste à participer à l’œuvre de la Tiger Woods Foundation. Le symbole est double, puisque le tournoi s’est déroulé aux Bahamas, terre d’accueil du bienfaiteur et pour laquelle il a beaucoup investi. Mazurier est en effet très sensible à la fragilité climatique de l’archipel caribéen, qui pourrait faire partie des premiers territoires engloutis par la montée des océans. Et ce dévouement trouve sa continuité dans le soutien qu’il apporte aujourd’hui à la fondation de Tiger Woods.
Avec son père, co-fondateur de l’œuvre, le célèbre et charismatique golfeur s’attache à défendre l’éducation. Les deux hommes ont créé une bourse d’études (les fameuses scholarships qui permettent aux Américains méritants mais défavorisés d’accéder aux meilleures facultés) mais ils participent surtout à l’amélioration des moyens des universités, ce qui permet un fort développement de la recherche. Tiger Woods ne s’en cache pas, sur le site de sa fondation on peut lire son objectif : « vivre dans un monde meilleur ».
Christophe Mazurier n’a pas pu s’illustrer par ses talents de golfeur, et Tiger Woods n’a pas retrouvé ce week-end le niveau flamboyant du sommet de sa carrière… mais une chose est certaine : leur rencontre est une très bonne nouvelle pour la mission qu’ils se sont arrogée, d’aider ceux qui en ont le plus besoin.
Billet de blog 22 décembre 2016
Christophe Mazurier : Golfeur, homme d'affaires… et généreux donateur
Début décembre la fondation Tiger Woods organisait son grand tournoi de golf, qui aboutissait sur l’affrontement des plus grands noms de la compétition les 2, 3 et 4 décembre.
Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.