Tout cela pour vous dire que ayé,finis les rêves d'être expert ès, écrivaine, présidente, femme de tennisman (et pas tenniswoman moi-même je hais le sport), célèbre actrice, célèbre blogueuse (nan ça c'est fait), ou pire célèbre influenceuse qui teste des produits-arnaques pour gonfler ses seins, remodeler son Q ou rallonger sa connerie.
Pis naaan, je vais enfin assumer être Moi. Ni en mieux car mission impossible suis parfaite, ni en pire. Je vais assumer être une femme encore jeune, très belle, très intelligente, très spirituelle, et hyper "culturée". Qui n'a ni besoin de gonfler ses seins parfaits, remodeler son impeccable Q, mais surtout aux cheveux toujours ultra trop bien coiffés, quelles que soient les circonstances et le lieu.
Au lever, au coucher, au boulot, au supermarché, sur le dancefloor, sur mon canap', dans ma sdb, et même dans ma cuisine cette inconnue que je fréquente peu, ben j'ai toujours l'air de sortir de chez le coiffeur.
Plus jeune (hier donc), j'ai envisagé sérieusement 1/4 de seconde de faire ce métier. Mais finir sa journée avec les guibolles en poteau téléphoniques à force d'être en position verticale toute la journée, et le cheveu en cappellini trop cuit pour cause de surchaleur des salons, non merci.
Néanmoins j'adore toujours autant "l'ambi salon de coiffure". Ça papote, ça boit un café, il y a de la musique. C'est un peu une boîte de nuit, mais de jour ... si l'on fait abstraction des mémés aux cheveux bleus ou roses, qui toutes cannes brandies débarquent le samedi 14h, pour se pomponner la perruque avant de se rendre à leur thés-dansant semi nocturnes, pour une night de dingues, entre 18h et 21h. N'empêche que dans le lot il y a toujours des marrantes. Tout comme les coiffeuses toujours sympas, branchées fringues et plaisir de la vie.
Tiens cela me rappelle cette superbe nana, comment s'appelle t elle déjà ?

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