Adoucir la fin de vie - l'expérience d'un vieux médecin

Quand j'étais médecin hospitalier à Coulommiers, je prescrivait du Tramadol (mélange de l'opium et du paracétamol) à volonté chez les patients en fin de vie (cancers et autres).
Le traitement était adapté par le malade lui-même, qui augmentait les doses à volonté. Il décédait sans souffrance.

À l'époque on ne parlait pas de suicide assisté.

Et en Iran, mon grand père atteint d'un cancer au stade terminal fumait et mâchait de l'opium. Il est mort sans souffrance.

Mon expérience a été basée sur l'intuition et surtout beaucoup d'empathie qui commandait mes actions.

Docteur Azizi Parviz