Quand prendra t'on en compte la globalité de notre petite planète?
Les vivants de ce vaisseau spatial "naturel" constituent sans contexte son équipage et doivent donc être gérer de manière globale!
Vouloir sans fin promouvoir des mesures particulières sur des régions parcellaires n'a aucune valeur préventive et surtout est dépourvu de toute efficacité.
Les "Riches" ne pourront pas arrêter les microbes à leurs frontières tout en délocalisant le travail vers les pauvres.
La promiscuité dans les agglomérations, humaines et animales, préparent les mutations des micro-organismes dévastateurs en permettant l'échange des génomes et la survie de quelques mutants nouveaux inconnus.
La folie de l'homme se poursuit dans sa recherche du lucre, recherche presque systématique, y compris malheureusement dans le commerce des antibiotiques; ceci conduit au mauvais emploi de ces produits, mal indiqués, en mauvaise posologie, avec souvent une politique commerciale des laboratoires pharmaceutiques qui se moque bien de l'élaboration des résistances et répandent leurs spécialités uniquement dans le sens de la satisfaction du profit.
Le malheur viendra de notre égoïsme et de notre vision limitée et à court terme sur cette globalité de l'humain et du vivant, qui nous amène inlassablement à promouvoir des actes contre nature et à espérer comme des jeunes enfants, que quelques forces mystérieuses viendront corriger nos errements béotiens.
Certes le sujet est certainement technique; merci aux chercheurs et à tous les humains qui se consacrent à la santé de l'humanité et du vivant de notre Terre.
Je crains que sans respecter d'abord la "clinique" et donc l'essentiel qui est philosophique, on aura vraiment peu de chance d'aboutir à un résultat et, comme avant la Renaissance l'humanité va devoir compter ses survivants, avant longtemps!
Partager les biens ce serait mieux, car résister à cela , va accélérer le partage du mal!