Ne tombons pas dans la théorie du complot, ni les scénarios apocalyptiques... Mais si le scénario négatif se produisait?
Et si c’est une réaction enchaine d’une ampleur qui emportait, au mieux une partie de l’humanité, au pire,l’humanité. Un battement d’aile de papillon au dessus du Brésil peut ilprovoquer une tornade au Texas ? Si la réponse à cette question étaitoui ?
Alors, nous assisterons à ladestruction de réacteurs après réacteurs, les marchés financierss’effondreraient, les économies seront asphyxiées, la famine toucherait desnombres impressionnants de personne.
L’enchaînement entre cesévénements peut différer mais il existe, le chemin qui pourrait être suiviserait différé et le sérieux de cette hypothèse évite de ne pas trouver le bonchemin, compte tenu des connaissances nucléaires, économiques, politique,militaire, géopolitique etc. Cependant, chacun avec son expertise, la mienneest simple à anticiper : les peurs pousseront les investisseurs à sortirdes actifs après les autres. Cette sortie pourrait être liée à de laspéculation que ce scénario se réalise, ou une crainte réelle, ou un mouvementmoutonnier.
Le nombre de morts et dedestruction économique ne peut être évalué puisqu’il correspond à laprobabilité la plus faible. Mais comme le joueur du Loto gagne malgré unechance sur 14 millions uniquement, le scénario n’est pas impossible.
Si la destruction nucléairetouche une zone étendue au Japon, nous ne pouvons pas compter sur les profitsfuturs générés par la construction pour rembourser les dettes du Japon etretrouver des valorisations justifiées par les prix boursiers actuels. Lespertes financières liées à la classification du Grand Tokyo comme zoneinhabitable pendant une dizaine année seraient pharaoniques.
La globalisation économique feraétendre le nuage économique aux zones non touchées par le nuage nucléaire.
Scénario hollywoodien ?Espérons le !
Mais aussi évaluons les risqueset anticipons le pire, et si nos modèles, nos prismes d’analyses n’étaient pasjustes ou que ceux-ci n’étaient pas correctement utilisés.
Peut être qu’il est préférable deprévenir que guérir pour une fois, dans l’histoire de l’humanité.