En 1998, Ben Moubamba a créé et dirigé l’Institut français Edith Stein avec lequel il s'est beaucoup investi dans l'action humanitaire au profit des populations et en particulier de l'éducation des enfants. Il a notamment travaillé dès 1999 en compagnie de son épouse Virginie née HUBERT (avec laquelle il aura 3 garçons) et de dizaines de volontaires français pour la sauvegarde de la mission historique de Sindara (province de la Ngounié) au centre du Gabon où il a fait vivre sur ses fonds propres essentiellement et grâce à de nombreux volontaires français : une école, un internat, un dispensaire, une sauvegarde du site, etc., avant d'être contraint d'arrêter ces projets, suite aux difficultés liées à son engagement le 30 août 2009 en tant que candidat à la présidentielle gabonaise du 30 août 2009.
Avec l'appui de volontaires du Burkina Faso, Ben Moubamba a également tenté de reprendre pendant deux ans (de 2006 à 2008), l'école, l'internat et le dispensaire de la mission Sainte Anne dans la lagune du Fernan Vaz, construite avec des restes de la Tour Eiffel à Paris, non loin de Port-Gentil. Bruno Ben MOUBAMBA a également tenté plusieurs expériences humanitaires à Ndjolé au centre du Gabon mais elles n'ont pas été couronnées de succès.
En 2007 / 2008, Ben Moubamba a eu l'idée avec d'autres Gabonais de proposer aux évêques du Gabon, l'organisation d'un Jubilé-anniversaire dédié aux 25 ans de la visite du Pape Jean-Paul II dans le pays. (http://fr.wikipedia.org/wiki/Bruno_Ben_Moubamba).

Année 2001: Qu’elles sont loin ces années où nous avons dépensé notre énergie et quelques moyens entre 1999 et 2005 dans des activités humanitaires avec nos enfants au service des populations gabonaises. Augustin le premier garçon sur trois a fêté son premier anniversaire à Tsamba-Magotsi en prenant son bain dans l’eau de la Ngounié. Qui connait le poids des épreuves de ceux qui ont lutté dans l’arrière-pays pour un monde gabonais nouveau qui vient dans les douleurs de l’enfantement. – à Sindara, Ngounie.

Les enfants des villages du Gabon connaissent la double peine d’être plongés dans les ténèbres de l’ignorance à cause du manque des moyens humains, matériels et financiers ; mais ils souffrent aussi du manque des valeurs éthiques entretenu par une « clique » de politiciens sans densité morale. Avec Virginie, nous avons constaté un manque criant de considération pour les populations dites villageoises. Et c’est une erreur car ce qui reste de nos cultures ne l’est que grâce aux villages : les langues, les traditions, l’éducation de base …etc.

Nous pensons que la couleur d’un être- humain n’a aucune importance car nous partageons tous la même humanité. Virginie Ben Moubamba s’est engagée avec nous pendant des années dans des activités humanitaires de manière discrète et efficace. L’histoire la remerciera car « On ne voit bien qu'avec le cœur. L'essentiel est invisible pour les yeux » dit Antoine de Saint-Exupéry dans Le Petit prince.


Année 2001:Augustin découvre ses cousins à 1 an ... – à Libreville.

15 Mai 1999 : un mariage à Montmartre sur les hauteurs de Paris. – à Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre.


Aux temps heureux du journalisme à Paris (ici un temps de travail au couvent catholique des carmélites de Montmartre – à Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre.

Des fiançailles traditionnelles au Gabon en 1998 auprès de la maman Henriette Bouanga. – à Gabon - Libreville.

Augustin et Virginie s'en vont au culte du dimanche quelque part à Libreville en 2001. – à Gabon - Libreville.

Virginie est devenue une grande femme d'affaires ... depuis 2007.

BBM est entré en politique depuis 2009 : ici avec Virginie à gauche et Anne la fille adoptive du couple Chirac. La vie ne dure qu'un instant et le temps n'attend personne ! – à Paris.