"J'ai été frappé d'effroi, par la barbarie des propos tenues par la personne "représentante" des forces de l'ordre. Ces propos se révélant être ivre de violence et de sang.
Peut on leur confier la protection de nos libertés et de nos droits s'ils sont sorti du champ de la raison et du sang froid.
Comment comptez-vous y apporter un contre poids civilisé ou bien avez vous, vous aussi, sombré dans une logique d'un états de fait de la violence banalisé et non contenu ?"
à 3min50 Attentat déjoué contre un commissariat à Paris.
Question !
- les force de l'ordre, ne sont elles pas tenu de protéger la paix publique et non d'aspirer à être parti prenante de la violence ?
- Les forces de l'ordre ne sont-elles appelées à disparaître, dans un future le pus proche possible ? Ne sont-elles pas seulement un mal nécessaire ? Leur participation ne signifie pas un/des échecs qui doivent en premier lieu nous amener à nous interroger sur notre démocratie, pour la perfectionner (et non l’amoindrir) ?
- les forces de l'ordre ne sont-elles pas tenu, gage de leur compétence, de garder leur sang froids, afin d'apporter la réponse la plus efficace et rationnelle, même quand ce sont elles qui sont visées ? et non de céder à la panique?
- Les force de l'ordre ne sont-elles pas tenu, compte tenu qu'elle sont dépositaire du monopole de la violence, de s’empêcher d'en éprouvé de la jouissance et du pouvoir. Car tous détendeur de pouvoir, (de force et de violence - même à sont corps défendant) et entraîné à en faire usage, car il n'existe aucun contre pouvoir à cette violence. Contre tenu de l'absence de contre pouvoir et du "respect" que sa force impose, n'est -elle pas tenu bien plus encore à une discrétion à se justifier ?
- les forces de l'ordre si elles sont attaché à la garantie des institution de leur caractère républicain et démocratique, ne devrait-elle pas spontanément, si elle demande une augmentation de moyen, d'outils de demander les contre pouvoir et les instance de surveillance, de contrôle et de contre pouvoir ? Compte tenu des dérive spontanément humain qu'une personne dépositaire d'une autorité peut détenir sur autrui. Si il existe des lois permettant à la police d'avoir plus de pouvoir, il est nécessaire de donner plus de pouvoir à la Justice pour permettre un juste équilibre des pouvoirs.
- Est-il sage de demander à la police et à l’armée ce dont elle a besoin ? Compte tenu de l’immense pouvoir d'intimidation potentiel, dont elle jouit ; En démocratie, ne doit-on pas simplement consulter ces corps ? leur fonctionnement ne pouvant leur appartenir ?
- Ne sommes nous pas gouverné par les syndicats de police ?
- Comment, les forces de l'ordre et les militaires, hiérarchisent-ils : La garantie des droits de l'homme, la garantie de la démocratie, la protection de la constitution, la protections des institutions, l'application des politiques publiques, l'application les instructions politiques et hiérarchiques, la sécurité des citoyens, la sécurité de leur collègue et leur propre sécurité, leur honneur et leur fierté et le prestige qu'il en retire, la jouissance qu'il en retire, leur engouement pour la force et le combat, la loyauté à leur profession et à leurs collègues ?