Face à la barbarie.
emporté par la folie du pouvoir et de sa jouissance :
François Manuel Orbán a pris le contrôle.
Il savait que son peuple galvanisé par les événements tragiques et son élan spontanée d'hommage. Ce peuple, surpris de lui-même c'était senti grand et fort, mais si faible.
Il lui confiait la direction des affaires, sans peine, calme, serein. F.-M. O. n'avait même pas demandé cette prise de pouvoir, il était légitimie.
Son peuple voulait pouvoir paisiblement pleurer ses morts, se recueillir et méditer avec les siens sur l'inimaginable.
François Manuel Orbán savait qu'il ne rencontrerait, maintenant, aucune résistance. Ils s'aligneraient spontanément. Il ne formerait désormais qu'une une seul tête. Ceux qui proposeraient une critique, timide, ceux qui émettraient une proposition alternative, serait regardés, lass, par les autres. Pourquoi se compliquer à écouter ces types avec leur histoires, leur nuances, Ils étaient bien tous Un.
Ainsi la majorité et l'opposition, comme le corps sociaux se sont fait un devoir d'unanimité face à la situation exceptionnel. Ils ont approuvé unanimement les réformes en cours sans bien les amender : réforme Cro-magne, sur la sécurité et la communication, celle sur la lutte contre le terrorisme et la traque, celles sur la libéralisation des échange et accroissement de l'économie, etc. Ils les ont toutes validé et il a même pour les compléter, sans efforts, par des mesures qu'il n'osait précédemment obtenir.
Son peuple est heureux, son peuple se sait capable d'être uni face aux agresseur de l'intérieur.
François Manuel Orbán veille sur lui, les armes qui brille à chaque coin de rue en sont le témoignage. Elles en sont la démonstration indéniable.