Pour ceux qui en douteraient encore, cet événement lamentable, honteux et scandaleux, confirme qu'il existe une alliance objective entre le sommet de l'État (le banquier éborgneur et emmerdeur, pour ne pas le nommer) et les cailleras.
Lorsqu'il s'agit de flinguer des Gilets Jaunes, ou des manifestants en général, l'employé de Rothschild sait employer la police à qui il donne des ordres d'extrême fermeté. Au Stade de France, il n'y avait pas assez de policiers et les présents couraient et gigotaient dans tous les sens dans la plus totale inefficacité.
Des centaines de millions de spectateurs ont été témoins de l'impéritie des forces de l'ordre, mais aussi de leur rage.
Il faut se rendre sur les sites anglais pour comprendre à quel point le banquier et ses alliés objectifs ont, hier, sali à jamais l'image de la France.
Je citerai d'abord ce supporter anglais :
“L’après-match d’hier soir était le plus effrayant que j’ai jamais vécu. Des gangs organisés se sont mis à agresser les fans qui partaient. Nous avons été poursuivis par un gang de voyous sur le chemin du métro. Pas un policier en vue. J’ai été témoin de tant d’embuscades contre des spectateurs sans méfiance. Scandaleux ”.
Écoutons Jim Beglin, commentateur télé et ancien footballeur professionnel :
“L’après-match d’hier soir était le plus effrayant que j’ai jamais vécu. Des gangs organisés se sont mis à agresser les fans qui partaient. Nous avons été poursuivis par un gang de voyous sur le chemin du métro. Pas un policier en vue. J’ai été témoin de tant d’embuscades contre des spectateurs sans méfiance. Scandaleux”.
Le témoignage d'Amaury Brelet, journaliste web est saisissant :
"En plusieurs années de Saint Denis, je n'ai jamais vu un tel acharnement sur des victimes et une telle multitude d'actes de délinquance. C'était vraiment un carnage. En plusieurs années de Saint Denis, je n'ai jamais vu un tel acharnement sur des victimes et une telle multitude d'actes de délinquance".
Á noter également le témoignage d'un député espagnol : « Je retranscris ce qui m’a été relaté par l’une de mes connaissances, qui me dit toujours qu’on a tendance à trop criminaliser l’immigration : “Ce que j’ai vécu aujourd’hui à Paris m’a fait penser différemment. La police n’a rien fait. Indescriptible. Des voleurs nous ont attaqués deux fois. Nous allons bien mais nous sommes traumatisés. A l’entrée et à la sortie. Avec des enfants de 9 et 5 ans. Ils ont gâché notre fête. »
Pour notre ministre de l'Intérieur, les responsables sont les fraudeurs anglais avec leurs faux billets d'entrée. Dans Darmanin, il y a nain.
PS : Pendant ce temps-là, l'équipe de Rugby de La Rochelle remportait un titre européen dans la joie et la ferveur communicative. Il y a une soixantaine d'années, un Anglais forgea une définition qui est restée dans les mémoires, d'une part parce qu'elle reflétait peu ou prou la réalité, d'autre part parce qu'elle avait à voir avec la société de classes : “Football is a gentleman's game played by ruffians ; rugby is a ruffian's game played by gentlemen ” (le football est un sport de gentilshommes joué par des voyous ; le rugby est un sport de voyous joué par des gentilshommes). Á noter qu'on peut être les deux, comme le remarquait Joseph de Maistre à propos de Napoléon : “ Il a usé de la victoire d'Iéna bien autrement qu'à Vienne où il avait fait le gentilhomme. À Berlin, il a été barbare à l'excès ”.
Dans l'école privée d'Eton une compétition terrible datant de 1766 combine le rugby et le football : le wall game (le jeu de mur). Il a été qualifié par certains comme le sport le plus con du monde : “ Peut-on imaginer un sport plus exclusif et élitiste ? Un seul terrain, pas de ligue ni de fédération, et un seul match qui compte réellement dans la «saison», le samedi précédant la Saint-Andrew (le 30 novembre) ” (Laurent Favre). Avant Harold Macmillan et Boris Johnson, George Orwell y a joué une fois en 1921. On le voit ici (quatrième en partant de la gauche) se rendant à la compétition. Ce très court film est historique et pour moi très émouvant car c'est le seul film sur lequel apparaît le futur auteur de 1984.
Sur la photo, Orwell est en 3 1.

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