Pendant les travaux du Grand Guignol, voici la suite (à quand la fin?) du "Bal des Cocus".
De Chirac réélu à la pince à linge avec les voix de la gauche, à Sarkozy qui fait passer le traité de Lisbonne rejeté un an plus tôt par référendum; De Hollande, élu peut-être uniquement pour virer le précédent, flambard qui plastronne son adversité pour la finance pour non seulement ne rien faire mais encore se laisser mettre dans le pattes un ministre de l'économie qui va cocufier Alstom (donc un peu la France) et quelques autres tout en organisant le ruissellement d'argent public vers les entreprises privées et leurs actionnaires. Le même Macron va s'employer à le disqualifier, -un cocufiage ou une trahison de plus à son actif-, pour candidater à sa place et bien sûr faire barrage à qui vous savez, et devenir ainsi calife une fois puis deux, avec les voix de...des français, qu'on cocufiera en nommant des grands vizirs successifs qui nommeront de plus en plus de ministres de droite, de préférence Sarkozistes, jusqu'au caprice digne de Mac Mahon de la dissolution...Après le manège des mignons du début du second quinquennat, le carrousel des barons pour la fin d'icelui, de plus en plus déjanté, jusqu'à rappeler Valls et Dati, de plus en plus pervers jusqu'à obtenir que le président des socialistes cocufie les siens, probablement pas à l'insu de leur plein gré.
Le bal des cocus, vous dis-je. Au dernier acte, un dernier salut de la troupe et de l'acteur qui la dirige, pas très étonnant avec un nom pareil!
Et l'avenir, dans tout ça? On sait juste qu'il n'y aura pas de troisième quinquennat, on est presque sûrs que demain sera une sorte de troisième EN PIRE...
S'il vous plait, ôtez moi d'un doute: le très mauvais goût, est ce mon billet ou la réalité politique que tambouille l'authentique pervers de l' Elysée?