Emmanuel en Palestine.

Le 22 septembre, on dira probablement du discours à l'ONU d'un certain président français : "mieux vaut tard que jamais".

On aura peut-être rappelé, en tout devoir de mémoire pas trop courte, que le même a été l'un des tous premiers (avec le premier ministre israélien et ses homologues hongrois et turc ) à féliciter Trump de son élection. Le même Trump dont le programme était de raser Gaza et d'y promouvoir une "Riviera".

Maintenant qu'on a laissé Netanyahu entreprendre et achever le sale boulot, il est temps de chercher à  tirer toute la gloriole qu'on peut dans la reconnaissance d'un état qui n'a jamais vraiment pu exister et d'un peuple qui n'existe presque plus.

Une plastronnade médiatique ne se refuse pas et quelques points de popularité sont toujours bons à prendre. Mais cela ne pèsera pas lourd dans le jugement de l'Histoire!