Les Suisses sont d’excellents consommateurs. Ils achètent sans discuter le prix.
Même si depuis des années on profite de la candeur.
La baisse de l’Euro a eu le mérite de mettre en évidence quelques exagérations.
Pour rester poli.
Même notre conseiller fédéral Bernois, qui d’habitude à tendance à ne pas exister, c’est fâché.
Donc il doit exister des prix croquiniolesques.
On parle de différence de 200 % avec l’Allemagne ou la France.
Maintenant que notre gouvernement a fait la moitié du chemin, il faut qu’il termine son travail en publiant une liste des produits à ne plus acheter.
Avec en pourcent, la différence de prix.
Alors, le consommateur, en pleine connaissance de cause, pourra décider de son attitude.