Les nouveaux revêtements des surfaces publiques, ghorr du Beaujolais, petits cailloux, absorbants, vivants, mais tellement peu pratiques.
Les urbanistes chics et chocs n’ont que cette nouvelle mode à la bouche.
Nous n’avons rien compris, l’avenir est en marche, halte au goudronnage…
OK, mais pourquoi ne pas revenir à la simplicité de la nature, un simple champ, un jardin, une nature qui vit et que l’on voit vivre.
Le pompon, c’est que ces trucs ne sont pas nettoyables. Il faut y aller à la main, à la pince et lentement extirper les mégots et autre déchets.
La ville de Genève va engager 6 employés plus un concierge pour sa « magnifique » plaine de Plainpalais, environ 600 000 francs par an.
Démonstration de l’absurde.
La théorie des concepts.
L’absence de logique et l’incompétence de certains.
Bon je crois que je vais me jeter derrière la cravate un petit verre de Saint-Amour.
Cela me donne envie toutes ces histoires de Beaujolais,
de faire un petit mâchon.