On manque de médecins suisses.
Les hôpitaux engagent des confrères étrangers.
80 % au Tessin et 80 % à Saint-Gall.
Et dans l’intervalle, aucune réflexion sur l’avenir des nos jeunes universitaires.
Numérus clausus, examen test, 80 % d’échec en première année.
Sélection et tri, sans savoir si se sont les meilleurs médecins que l’on garde.
Absence également de réflexion au niveau des ressources humaines des hôpitaux.
Peu de postes à long terme.
Pas de plan de carrière.
Obligation pour la majorité de s’installer dans le privé.
Avec cette contradiction.
Les médecins suisses quittent les hôpitaux et sont remplacés par des médecins étrangers.
Cela fait des dizaines d’années que nous demandons plus de poste de cadre dans nos hôpitaux.
Cela permettrait une stabilisation du personnel et une diminution des cabinets privés.
Il est temps de se réveiller.