Et oui grave question.
Prenez des mignons petits cochons. Ceux qui sont élevés sans pouvoir choisir leur nourriture, recevant des antibiotiques, ne sont pas porteur de salmonellose (malgré la résistance aux antibiotiques) ou de parasites.
Ceux qui peuvent se promener à leur guise et manger ce qu’ils veulent sont plus à risque de transmettre des maladies à l’Homme.
Cela semble logique.
Mais dans une société ou le risque sanitaire doit tendre à zéro, la question de l’élevage libre sans prise d’antibiotique se pose.
Peut-on accepter la possibilité d’être malade ?
Peut-on assumer individuellement cette possibilité ?
Ou bien devons-nous demander à nos gouvernants d’écarter ce type de problème ?
Vastes interrogations…
Rien n’est simple, rien n’est compliqué.
Le bonheur peut être toxique.
Caramba, encore une certitude qui fout le camp