Poéthique de la résistance
Ière Partie
Le self depreciation[i], un bloquant africain pour la reconquête
Cette contribution, une longue missive[ii]au format poésie, s’inscrit modestement en une invite, à fédérer le plus grand nombre de personnes pour la digue à ériger par la plume, le verbe, la musique, l’image, les arts, toute action pacifique ce, pour pallier l’effondrement de l’humanité en chacun de nous presque, par mimétisme inconscient voire fatalisme résultant d’un processus corrompu du politico-socio-éducatif et culturel.
Pour ce faire, je choisis la plume ; ici particulièrement un poème à déclamer sur fond de saxophone et/ou cora. Entendu que, j’écris sous la dictée bien sûr exclusive, de ce monde tel qu’il s’exprime, s’explique à moi en son éboulement entamé le siècle dernier
Contrer la relégation aggravée du peuple mien, commande la nécessaire reprise en main contextuelle nationale voire continentale, qui implique la mise en application du savoir épuré dans le champ politique, à des fins de transformations endogènes profondes, amélioratrices des conditions d’existence. Ce, en référence à l’idée force d’une Afrique africaine, partagée par Cheikh Anta Diop, Nelson Mandela, Nkrumah, Lumumba[iii], Sankara, Aimé Césaire, Bob Marley chantre du panafricanisme messianique… des précurseurs dont l’utopie réaliste est à réactiver ; le lieu d’insuffler un souffle nouveau de restructuration socioculturelle continentale.
Résister, le maître mot. Absolument/Le chemin sera long et âpre le combat, du sang de nos blessures repoussera l’Afrique/le prix d’un changement équilibré, conforme le plus possible/moins subi mais choisi/Acteurs, pour ne pas dire résistants-activistes face au chaos du monde qui se dessine,/nous devrons l’être au mieux/pour servir de courroie de transmission par l’information pédagogique/le comportement adéquat issu de l’éducation par l’exemple/notre devoir absolu/toute approche émotionnelle étant exclue/en ce siècle du renouveau africain pour une Afrique réconciliée/nos frères et sœurs de la diaspora rentrent au pays (Afrique) le Ghana en première ligne, l’appel de Marley exaucé/« we Africans will fight it we find if necessary » rappelle-t-il/à défaut d’une diplomatie de reconquête nationale/plombée par une méconnaissance de la géostratégie foncière[iv]/la souveraineté en jeu, tant pis pour les nègres qui n’ont pas compris/«que l’Europe nous a pendant des siècles gavés de mensonges et gonflés de pestilence»[v]/sous caution des ennemis intérieurs à bouter out/l’engagement de résistant-activiste rime avec conviction, par la même l’éthique/la promotion de l’intérêt général autrement le bien commun/gage de la bientraitance multiforme et multidimensionnelle du plus grand nombre/des divers types de vivants faune et flore à sauvegarder.
Je suis pour une poéthique/qui charrie le politique verbe/porte en germe l'éthique vision de la planète/prescrit et promeut de pratiques correctives/bah ! par les temps qui courent faut pas s’étonner/c’est la course à la légitimation de la logique du plus fort/à l’endroit de toute espèce vivante/la faune décimée la flore saccagée/l’humain réduit à un simple agent économique/prélude à sa chosification pour usage en masse à durée réduite/l’instinct dressé en arme de destruction du plus grand nombre/contrant tout embryon de réflexion et de liberté/la pendule réglée à l’officialisation généralisée de l’iniquité/dans l’application des droits des peuples à l’autonomie/Tosh says « I need Equal Rights » et le monde reste sourd/ici et là le chaos se dessine en cette décennie à hauts risques d’embrasements quasi imparables/des parties de la planète à feu et à sang/de l’Irak à la Libye, de la Centrafrique au Tchad, je dis Haïti Mali Madagascar Burkina Faso Guinée équatoriale…/le Sénégal submergé de mines quasiment dans la ligne de mire de la radicalisation occidentale?/et v’là que le jour est de plus en plus sombre/la nuit orpheline de lune et de silence/les étoiles virent au rouge sang/et pas qu’en hiver que le temps est maussade même sous les tropiques/partout les petits matins au sourire niais mécanique si trompeur/que c’est lourd de manipulation d’opinion de chantage/la diversion, la perversion, l’intimidation en abondance/tonnent au point de rompre tout résidu d’espérance/«unvent mystique qui souffle Natural mystic»hi ! Marley /le ciel au plus bas porte le deuil de la paix/la quiétude incompressible qui soulage n’est guère perceptible/l’Amérique secouée lors de la présidentielle/la démocratie défenestrée presque à la face du monde/atteste la bifurcation de vision politique sur fond de programmes alambiqués/à des fins de souffrances décrétées pour des contrées lointaines qui se rebiffent/disent stop ! là a sonné l’heure de sortir impérativement/du conformisme programmatique des orientations im-posées par l’Occident/dont l’offensive en perte de crédibilité l’enrage davantage/la propagande devenue langage du siècle/v’là le mensonge autrement fake news institué en langue mondialisée/la culture de crétinisation par la tortuosité informative/les lois liberticides dis-je l’abus de pouvoir érigés en règle universelle/fondée sur la peur, l’intimidation/Man « l’approche de la menace adoucit »la masse imbécile formatée à bon escient/revigore les sages incompris qui livrent bataille/dans ce monde à la marche bancale entretenue/v’là au finish le crime en humanisation rampante/le ravage des maux m a u x... m a u x... m a u x.../à pervertir les mots la syntaxe/voire l’esthétique et la métaphore à p’tit pas/dans l’espace public sur fond de discours/de plus en plus empreint de perversité systémique jusqu’aux pratiques/caution de potentielles débâcles sociales à récurrence risquée/désole le sens critique comme des guerres/qui s'annoncent aux portes de nos villes/la guerre larvée au quotidien au pas de porte du domicile/à coup de surveillances, pour viols de l’intimité/du voyeurisme nouveau légalisé/le tout délégué jusqu’au plus proche pour quelques sous/rien que pour de maigres sous/mais gros pour l’indigne complice malfrat estampillé/l’ennemi intérieur prolifère de plus en plus/sous l’emprise de la tour de contrôle/avec vue depuis des lustres sur la basse-cour/c’est la filature en mode banalisé/le guet-apens permanent par relais/le long du parcours eh op ! un qui déboule de son store/un autre d’un bureau au travail ou de son immeuble ou du café du coin/d’autres des transports en commun ou particuliers/postent recroquevillés dans les centres commerciaux/la sentence a le goût de sang pour sacrifice humain/ta vie la sienne la mienne mises à prix/oh ! la Sophie en vicelarde patentée/une âme en souffrance chronique avide de reconnaissance/à ne pas approcher par hygiène de vie/toujours aux aguets pour cannibalisme social/c’est sans compter avec le formatage de la cible/au tempo militant de la trompette de Miles Davis/au souffle de Jimmy Smith dans Midnigth special/et Hasta siempre Commandante Che Soledad Bravo en parabole.
Hé vois-tu si je ne suis ici que poète/je pus démystifier l’Occident impérialiste, le matérialisme, la conception ostentatoire de la fonction, le superflu/préférant boire la nature au Bois de Vincennes/à piétiner le temps autour du lac/marcher dans Paris d’un pas archéologique/dans la main le livre pour « se fortifier l’esprit avec l’esprit des autres,/s’imbiber le cœur des sentiments qui vous agréent…/apprendre à vivre en sachant vivre et laisser vivre»[vi]/quelle nécessité qu’est la lecture appropriée/dis-je les pensées des fiers guerriers de l’Afrique ancestrale Chaka zoulou…/pour le réarmement mental une exigence en ces temps d’incertitudes/ces moments de ruée des envahisseurs massifs sous couverts d’alliances tronquées/«Et nous sommes debout maintenant, mon pays et moi,/les cheveux dans le vent, ma main petite maintenant dans son poing énorme/et la force n’est pas en nous, mais au-dessus de nous…»[vii]/tout comme dire vivre la paix l'amour/écouter le silence de ma demeure le téléviseur out de ma vie/prêt à mourir sans condition pour la Patrie/au même titre que aimer à aimer eh ! quel noble Art/sourire à la beauté chantant la paix pour l'humanité entière/invoquer prières de paix et d’amitié à tous les peuples du monde/instruire pour un monde sans mur entre nations/ne vouloir que ponts et passerelles/v’là le vœux de tous ceux de ma trempe/dont on veut faire holdup de la verve/du politique verbe lucide qui éveille/et dont on voudrait dissoudre l’existence en pertes et profits/en servant pour soupe des mensonges et des récits de fiction relevés à la novlangue /aux indigents de la pensée trompeusement flattés/ceux de la misère morale sans foi ni loi/ha ! ha ! ha ! n’est-pas chétif le stratagème/de vouloir braquer la joie le don de soi l’humilité/museler les saints d’esprit pour briser la résistance au chaos de l’humain/brader des liens au prix modique de la complaisance/en somme contrôler davantage le mind(mental)du nègre notamment/en ces temps de pensées calamiteuses/de crétinisation de la société prise à l’hameçon de l’intégrisme modernité/le chantage a de beaux jours devant lui/le lavage de cerveau des nègres imbéciles versés dans l’illusion monétaire/soumis à la règle de jeu « tu dis et fais ça pas ça sous peine… » kha ! kha ! khaaa !/c’est « … enfermer les mots dans un ghetto linguistique » avisais-je déjà il y a trente ans/à ne pas douter on glisse vers la soft talibanisation/le diktat fait son chemin dans la locution au quotidien/sur fond de diversion par anesthésie socio culturelle/du marché endormant de la consommation démesurée/ah le poison indolore des prêcheurs du libre-échange/en lieu et place du PAS[viii]ceci, RSE[ix]cela et machin aussi… il faille bien instituer RSOP -Responsabilité Sociale des Organes Publics-[x]/« 2 + 2 = 5 » suggère A. Césaire soulignant qu’« il n’est point vrai que l’œuvre de l’homme est finie…/ mais l’œuvre de l’homme vient seulement de commencer/et il reste à l’homme de conquérir toute interdiction immobilisée aux coins de sa ferveur…/et il est place pour tous au rendez-vous de la conquête…»/pas un champ de l’existence du vivant[xi]n’est miné de visées impérialistes/aucune espèce n’est à l’abri dans un monde libre/dis-je d'un pseudo liberté d'expression/plutôt liberté sous pression insidieuse/puis confisquer la vie par fabrique de délits sur fond de mensonges/enfin sous oppression orienter vers des camps obscurs/oh là ! là ! en silence se déroule la meurtrissure sur commande/oui la cabale avec épée d’emprunt le nègre encore lui le nègre et de rares bougnoules/nos villes infestées abondamment de pauvres négresses et nègres -photos à l’appui-/des bidonvilles venus en Europe d’autres montés à Dakar[xii]/réduits à de commis filateurs sur le parvis de Italie 2 entre autres lieux/des Hors la Loi Officieux Criminels en roue libre/craignant la réprimande de leur maître ils courent, suent, suffoquent trébuchent se ramassent le dos honteux tête baissée/de la rue d’Avron, Bobillot… à la rue Zola/tout comme à l’église sur lit d’hôpital à la morgue le cimetière rien n’est laissé/eh op ! un nègre à la casquette puis une négresse baguette en main/cheminant tous au domicile rue Decaen me coupent la route avenue Daumesnil/et cet autre nègre en T shirt vert olive crasseux aussi bancal des pieds que pas futé du tout pour me pister/depuis ledit métro à l’Avenue d’Italie/un autre de guetter dans le halle d’un hôpital du 14è/aie ! ya ! ya ! si bataille il y a c’est d’avance perdue pour ces nègres viles personnages/tant affamés en faillite de culture qu’aigris patentés/croyant aux promesses pompeuses corruptrices/ils prennent le couteau pour le retourner contre eux-mêmes/ah kha ! kha ! kha ! trop tard quand ils auront compris ces nègres frelatés/ah! mon chant intérieur d’estime de soi de se dérouler à tue-tête/chanter l’amour jusqu’à l’ivresse de la liberté/en cela je signe l’éloge de la détestation la cabale à mon endroit/ça m’est une prime suprême que de susciter une telle désamour/source de revenu d’oisifs nègres en proie à la misère/vois-tu la soif du crime dressée en vérité pour paraître tel un droit/n’est que faiblesse pour faillite d’arguments/le slogan à la rescousse en permanente pour colmater les tares/faut-il s’y faire ou défaire ?/c’est non ! non !et non à l’infecte et indigne « négraille » de la servitude volontaire/ Man ! que la leçon de Marley « Rat race » est on ne peut plus actuelle/« Oh c’est une honte de voir la race humaine dans cette course de rat !!! » /avec des « armes, comme un planning » une précision de taille apporte Ferré « What do you mean, Gun ? »/c’est encore non pour nos enfants puis les leurs/leur droit de vivre la paix demeure non négociable/les rentiers de la paix et toutes ses dérivées héritées au sortir de 39-45/puis les indépendances les v’là aujourd’hui oublieux d’un social apaisé et tant de sacrifices/jusqu’aux martyrs héroïques du camp de Thiaroye/notre monde d’adultes de vieillards bénéficiaires de la post-modernité/livrent du Point E à Dieuppeul, du centre-ville Dakar à Ouest Foire de l’AIBD DIASS à mon meublé loué…/la diversion à coups d’amalgames de propos à contresens/par confusion intellectuelle la médiocrité prit le dessus/le long d’un processus corrompu pour fabrique de délits à suffisance/neutraliser les collabos un impératif de reconquête de la souveraineté/l’horizon 2030-35 promet la marche subversive du monde la tonne et le quintal de terreur de guerres
Man ! souviens-toi de Mandela la Conscience de l’humanité, Kenneth Kaunda, Mugabe qui bouta Ian Smith hors du pouvoir/le NON deSékou Touré, Steve Biko, Gbagbo, Saddam Hussein, Kadhafi, Assad/j’ai dit Sankara Lumumba Nkrumah Ben Barka/Malcolm X Martin Luther King…/et tant d’anonymes comme moi/toi puis lui et elle peut-être demain/n’est-ce pas ces vils négresses et nègres/parfois en djellaba ou en voile oh ! des talibans nouveau genre dans nos villes/qui sur mille et un chemins sinueux parsemés de bunkers banalisés/sur ordre d’un cercle autre traquent tes pas mes pas/même à l’hosto sur plateau technique très sensible/sur les trottoirs parisiens assis à une terrasse/sur un banc public simulant le SDF/en marche ou endossé au mur/alors que certains respirent la joie en partage/d’autres aspirent à la commission de crimes/à la distribution de diffamations, de topos piégeants/les surveillances et filatures se démocratisent/d’autres encore par relais à pied/à moto en voiture voire depuis les balcons les fenêtres d’immeubles/collaborent incognito contre qui résiste au chantage, à la génuflexion, la menace/Man « What do you mean, Gun ? »/la morgue ambulante et équipage appuyé d’une négrossossefrelatée indic/de guetter Place du marché rue de Reuilly début de soirée de l’hiver denier/puis de me rattraper vive allure à hauteur de deux complices en embuscade recroquevillés/à deux cents pas des marches plus tôt/sur fond d’un cri de gonzesse zélée/comme pour couvrir d’éventuels coups de feu desdits complices la énième tentative/de la Métropole à Central Hôtel Saint Denis, Ile de la Réunion/de l’Ile de France à Dakar…/ n’est-ce pas Hugo d’enseigner «Ceux qui vivent sont ceux qui luttent ; ce sont/ Ceux dont un destin ferme emplit l’âme et le front» /je vais mon chemin d’une assurance mesurée défendant la liberté/Mother Africa ! dis-je mourir d’une mort non naturelle/quoi de moins surprenant pour quelqu’un de ma trempe/la personne ne compte pas plus que ta liberté/la dialectique de l’inversion accusatoire à vitesse hypersonique/dans la marche bancale du monde/sous le sceau de la tortuosité du droit international/dis-je du droit d’ingérence pour le mieux l’entre-soi des « Puissants »/instituer le séparatisme n’est qu’alibi/se dédouanant du séparatisme structurel/de fait dans tous les champs de l’existence/pour officialiser davantage le refus de la repentance/kha ! kha ! khaa ! promu sous ce Président/qui fit hold-up constitutionnel de Mayotte à 99% musulman/tiens bien la suprême démagogie de la pilleuse tournée en protectrice/te rappelle-tu « l’Islam pas compatible avec la République… gna ! gna ! gna ! »/Manpas étonnant que cette France s’offusque voire s’étrangle/pour des réunions non mixtes des communautés stigmatisées/ah ! la force de frappe est là et mortelle à jamais/elle en sait la portée stratégique pour n’avoir fait que ça pour dominer/quel’exigence de nous s’organiser tarde/ Marcus Garvey d’alerter sur, pour nous libérer/v’là la France qui prend peur du retour de bâton/fuir ses responsabilités de siècles de crimes dans le placard/ah là là ! que ça sent la rance politique/juste que c’est l’ère de la culture de la peur/la solution sous nos cieux est de nous mettre au pas toujours/le soft apartheidconnait son essorle séparatisme n’est qu’alibi/la CNIL sous verrou subtil par des lois susceptibles/d’induire un meilleur ciblage systémique/n’est-ce pas la cartographie catégorielle sous haute surveillance /avec fort risque de détournement de sens/à forte potentialité de dégoulinement de sang/des mains des férus de la guerre larvée la guerre civile en latence ?
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SEYDOU BÈYE
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[i]C’est tout le contraire chez les personnalité cités ; ils sont l’exemple par lequel s’engage la reconquête de la souveraineté du continent. Le réarmement mental la très forte majorité est nécessaire.
[ii]Remonte à Novembre 2017, actualisé.
[iii]Patrice Lumumba dont la dernière lettre à sa compagne Pauline doit être méditée. : «… Que pourrai-je dire d’autre ? Que mort, vivant libre ou en prison sur ordre des colonialistes, ce n’est pas ma personne qui compte, c’est le Congo, c’est notre pauvre peuple dont on a transformé l’indépendance en une cage d’où on nous regarde du dehors tantôt avec cette compassion bénévole, tantôt avec joie et plaisir… ».
[iv]Par extension : Terre, Mer, Air.
[v]Aimé Césaire in Cahier d’un retour au pays natal.
[vi]Emilie Carles
[vii]Aimé Césaire ibidem.
[viii]PAS : Programme d’Ajustement Structurel.
[ix]RSE : Responsabilité Sociale de l’entrepris.
[x]Responsabilité Sociale des Organes Publics : ma suggestion, une idée de pratiques équitables plus adéquates à nos réalités.
[xi]Pas un type de vivant ne fait l’objet d’exploitation capitaliste ; la question écologique est mondiale et plus urgente en Afrique, Amérique latine, Océanie – faune, flore, les Océans…
[xii]Entre autres barbouzes en toute illégalité à Dakar à l’agence free Avenue Bourguiba, en tête la femme pingouin 2020 ; une fois à l’agence Orange Avenue de la République 2018, c’est monsieur rouge qui manipule. La dangerosité de ces personnages qui agissent sous couvert est à signaler aux structures publiques comme privés sans compter la cité.