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Billet de blog 28 novembre 2021

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Pour une poésie de la résistance Nous libérer de nous-mêmes prélude... IIIè Partie

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Pour une poéthique de la résistance

IIIè Partie suite & fin

Nous libérer de nous-mêmes prélude à la déconnexion 

La nécessaire rupture anthropologique

                                                                                                                         « Le pire ennemi de l’Afrique est l’AFRICAIN » S . Beye


       Le Sénégal, l’Afrique en général doit pour la reconquête de sa souveraineté/se libérer de deux relations infectes chroniques/d’une part avec lui-même s’agissant de sa relation incestueuse dévergondée d’une violence ancrée/d’autre part avec l’Occident néo-colonialiste impérialiste/une relation quasi pédo criminelle consentie de libertinage sadomasochiste/où tout se passe sans sourciller de l’enfantillage la soumission/de tout un continent par la même des abus séculaires «gobés»/me laissant comprendre le problème africain non pas par les ressorts politiques quels que soient l’orientation ou les hommes politiques en place ou le recourt excessif au levier financier/mais des ressorts cruellement anthropo-historico-culturels/comme ferment d’une construction politique densément exogène/aux visées diamétralement opposées aux intérets des populations/il y a longtemps je ne sais plus qu’est-ce que la démocratie/les orientations politiques supposées nationales n’étant qu’un appendice des décisions occidentales/les relations Occident, France singulièrement et Afrique, une entente tacite depuis les « indépendances »/où la diplomatie ici abusivement retenue comme fonction lubrifiant/le concept quant à son signifié politique et sa traduction opérationnelle étant pur leurre/il serait même exagéré de dire qu’il y a asymétrie entre les deux entités pour tout dossier/tout sujet émane de la seule France, initié -contenant et contenu- par elle/et exécuté illico mécaniquement par l’Afrique sans mot pipé/la relation étant de l’état du moi Parent  (France) à l’état du moi Enfant soumis -zone CFA entièrement-/partout où ledit enfant se mue en Enfant rebelle il eut coup d’état voire assassinat dicté depuis la métropole -Lumumba, Modibo Keita, Sankara, Kadhafi etc.-/c’est dire que l’action par et pour soi autrement l’endogène est le socle adéquat le déterminant local de toute politique/à permettre à toute nation de s’élever au rang économique et social indiqué/combien de fois les variables structurelles ont changé, sont permutés, inter-mutés, toutes soumises de l’extérieur/toute la zone CFA n’ayant d’ailleurs pas de politique économique propre/seule celle budgétaire lui revient pleinement/la potence y est double pour les populations réduites à la soumission dans la soumission/le problème est d’autant anthropologique que non seulement on ne se défait de l’extérieur/les chefs d’états africains épousent la doctrine du dominant/par application d’un colonialisme tropical inconscient/le colon nègre adepte du fauteuil envoutant  discrimine exploite affame «assassine» impudiquement son propre peuple/ce qui porte caution à l’essence même du néo colonialisme et son maintien sinon sa promotion indéfectible en Afrique/le rapport au pouvoir tient à la philosophie en arrière-plan à la conception du jeu d’inter relation et inter action des diverses composantes/l’accaparement clanique de la gouvernance politique propre à l’Afrique/corrompt le mécanisme de production de la nation induisant la violence économique/tous les segments de production de la nation sont à de multiples vitesses/quant au libéralisme en pays nègre je le qualifie depuis 2000 de libertinage économique/la mise à l’endroit passe par un seul programme radical/la rupture anthropologique par un réaménagement mental radical/la désinfection des cœurs quant à la carence de l’amour de soi et de la fierté nationale/la mobilisation des esprits par l’intelligence, les connaissances adéquates en lieu et place de la ruse et la fourberie/un impératif pour des avancées notamment en infrastructures humaines/la promotion de toute stratégie sous dictée de l’Occident/tant sécuritaire, culturelle que pour l’émergence des marchés n’est que leurre/l’émergence par soi-même par ces propres mécanismes à orientations endogènes/est possible mais non souhaitée par l’Occident pour perte de marchés/Tulsa  USA 1921 présente l’exemple patent de refus de toute émergence économique, financière, sociale du monde noir/le mot d’ordre : mon «oser l’Afrique»/l’heure a sonné le chamboulement sinon l’embrasement du monde est en gestation/

        Hé bonhomme exister sans vivre n'est pas la voie/faut voir comment crève à petit feu/de la modernité bien troquée il y a belle lurette/des vies par milliers au pas de nos portes closes à toute communication/la communion déjà défunte sous le poids du matérialisme/le verbe prostitué à suffisance/verrouillant l’esprit juvénile pas que d’ailleurs/emportant l'âme de nos quartiers/nos villes puis des états/eh il faut pas se leurrer bonhomme/la gonzesse là-bas au loin elle est déjà déçue de sa jeunesse/le papy désespéré d’une retraite frappée de ce je qualifie l’ingratitude nationale/tout comme toi guerrier aux mains nues/face aux prédateurs de tout ordre remontés contre la souveraineté nationale l’équité/cash je dis ! ils sont sans état d'âme/pas une once d'humanité ni un atome de regret/leur cœur bat du béton armé autant que pourra la terre matricielle doit saigner/avec la complicité des nègres frelaté/signe du manque de confiance de sérénité, l’éthique en faillite/le cirque du rire cassé se déroule tranquille/à des fins de milliards fétichisés à leur crédit/faut mettre tout le monde sous perfusion mondialiste/le credo de « L’Ordre formalisant du désordre/sinon du chaos qui s’étend sur des espaces/Oui, l’Ordre du Matérialisme Commandeur » /eh ! sais-tu que la recomposition au menu politique du mondialisme/l’ordre du « grand » jour est non négociable/le credo de l’uniformalisation de la production des nations/c’est la mise en sourdine lente des états/au motif de régler le monde à la pendule de l’histoire déjà écrite/ah qu’il a bon dos l’exigence issue de la crise pandémique mondialisée/les libertés ils s’y assoient insouciants comme sur un chameau dans une échappée sans frontière/c’est à chacun sa rancœur de régnant en échec de solution immédiate pour soumission absolue/qui brime le «bonheur» le vénéré social et l’honorable liberté de penser/bonhomme réveille-toi grouille-toi/pas pour nous autres mais la jeunesse en désespérance/il y a que c’est l’injustice qui est justement validée à bon escient sous les tropiques/la pudeur la loyauté l’éthique au placard/car inappropriés dans la dispute des enjeux majeurs/v’là le nouveau impôt qui consiste à payer de sa personne gratuitement pour être in/ha! ha ! ha ! il urge d’intégrer la marche bancale du monde dans la façon de penser/le fake news l’embrasement du monde! c’est parti pour/l’anormalité revient au goût du jour/les brigands poliment dits explorateurs/reprennent du service en mode virtuel/depuis une pseudo coopération cryptée bunkerisée/les gouvernements offshore prolifèrent sur le continent/l’Europe principalement ayant pour seule dialectique le rapport de force /« Tuer ou être tué » l’état de nature est de retour en le véhicule du néo libéral/pour composer par décomposition à volonté des territoires exotiques/ha ! qu’en dit long « La légende des siècles » n’est-ce pas Hugo/avec pour champ d’expansion de l’Afrique à l’Amérique/de l’Asie de l’Ouest à l’Océanie/alors qu’en Occident chaque état veille scrupuleusement au statut quo de sa configuration issue de cette approche/en Afrique, Amérique latine, l’Asie de l’Ouest… terrain de jeu des aménagistes planétaires/la règle de reconfiguration est y est déjà réintroduite sans appel/par ces temps de récession l’Occident démuni en total affaiblissement de pouvoir est à l’assaut/mec vois-tu le terrain est miné qu’il n’y parait/lève-toi et bats-toi d’un mental ancestral plus le choix/mourir n’est que vivre pour ton pays/qui se relèvera par la signature de ton sang/le sang des héros dans tes veines/« Guet Up Stand Up » t’enseigne Marley/la lutte ne sera pas vaine/faut bien des gens pour reconstruire/ici ou ailleurs hélas l'état n'est plus puissant en cette nouvelle ère/l’internationalisation du capitalisme fait son chemin/des mains sans visage sur la manette pire que la gâchette/savent où nous mener sans mot dire/hé laisse-moi dire les maux m a u x... m a u x... m a u x.../à épuiser tous les mots/ne te trompes pas de chemins des voies/voix manipulatoires prolifèrent/si tu y es déjà rentre de tes illusions/de ton inculture abyssale/le pire des ennemis qui s'infiltre en toi/par corruption politico socio culturelle/avec tantôt la fumeuse théorie de la guerre des civilisations/tantôt la mise en exergue du néo libéralisme/dont les néons happent des gouvernants sous les tropiques/sinon le pseudo compliment endormeur « toi ! tu es gentil, le plus intelligeant, le meilleur de tous pour diriger, tu sais hein !on va faire… »/tout un verbiage de promesses de milliards/qui proviendront plutôt de ce qu’ils t’auront subtilisés/campant les naïfs les incultes nègres frelatés/et la masse d’imbéciles dans de fausses certitudes/hé bonhomme dans un monde où pour vivre libre à défaut d'être des meilleurs moins manipulés/rappelle-toi de Rosa Park, Marcus Garvey, Mandela, Cheikh Anta Diop, Césaire, Sankara, Hugo, Sartre, Fela Ransom Kuti, …/faut être des plus forts par des p'tits pouvoirs du savoir qu’ils ne te livreront jamais/car non vulgarisé hors de portée de la masse connectée/au bidule du virtuel brouilleur de la réalité/au enfumant discours neutralisant par overdose la survenue de pandémies/des attaques à haut risque de djihadistes aux portes du pays/djihadistes ? une fabrique occidentale de la terreur gratuite/rien qu’un alibi à visée néo colonialiste/n’est-ce pas la pure arnaque du siècle dernier en expansion/te laissant subtiliser les centres névralgiques/le ministère des Affaires étrangères puis par glissement fonctionnel main mise sur les ministères des Armées, de l’Intérieur, de la Justice voire la présidence en co pilotage/la sécurité-sûreté tu la crois garantie/qui les confie à un pays étranger perd la tienne/rien d’autre que l’abandon de souveraineté/eh ! « le petit cadeau va là où il espère le grand cadeau »  ah ! ah ! ah!/la gonzesse frappée de crédulité doublée de cupidité est passée par là/c’est tout niqué trop bon trop con/hé le mec croit avoir pris du galon mérité/coopération s’entend entre les lignes opération main basse/par dialectique inverse le col’nel Président du Mali, le Président Malgache Andry Rajoelina, Faustin-Archange Touadéra RCA/tout comme Gamal Nasser, Rawlings, Sankara, hier/ont tout compris du renouveau africain le panafricanisme/question de garder la juste alliance d’égal à égal qui tarde depuis/imbécile Afrique d’extrême pauvreté croupie dans les geôles idéologiques de l’Occident/par goût de soumission contrant ta culture ta vigueur le bravoure des ancêtres/imbécile Afrique de la misère morale à prostituer la parole antique/te soulant d’occidentalité une modernité geôlière promue à l’envi/mais là la fin de cycle d’une relation artificialisée a retenti/sans revanche ni regret le renouveau d’une Afrique africaine est acté/tant pis pour les nègres frelatés/la malhonnêteté intellectuelle dans nos rangs tient à une faiblesse de l’âme/certains seraient même frappés de ce que j’appelle la mécréance intellectuelle/manque additionnel de courage en la défense de l’honneur de la patrie/v’là la faillite du désir de soi en l’amour pour son peuple bafoué/imbécile Afrique des adeptes de la contrebande politique /imbécile Afrique de ne pas promouvoir la parole de Lumumba, Nkrumah, Gamal Nasser, Cheikh Anta Diop, Sankara, Aimé Césaire…

       Imbécile chemin emprunté sous diktat de l’étranger aux concepts fumeux/imbécile Afrique de nègre-sse-s frelaté-e-s des plus agé-e-s aux adolescents collaborer avec l’ennemi/des pions on ne peut plus au rabais pour la chasse à l’homme  d’intègres Africains/défenseurs de ces mêmes criminels frappés de misère morale d’a-patriotisme/imbécile Afrique d’un embrigadement sauvage offrant l’opportunité d’une neutralisation sinon déstabilisation du monde noir/imbécile Afrique de la désunion endémique par masturbation de l’ego/la sempiternelle querelle à l’interne frein à toute souveraineté politique sociale culturelle/imbécile Afrique de ne quasi penser que le hard, la consommation tant privée que publique, la fonction comme gadget/et ces « urbains » bien perchés dans de brousses de béton sans chemins emménagés aux normes/les abord des bâtis laissés à l’état déconstruit du terrain initial/et de promouvoir les villes connectées en fait une des lentes voies d’ensevelissement de l’humanité par dépossession de soi/voies plus immédiates en pays de pauvreté d’analphabétisme des solidarités exsangues et d’indiscipline notoire/s’ajoute la jalousie généralisée qui macère jusqu’à la rancœur puis la terreur/sur fond de dispute des pouvoirs politique économique social gage de réunir les pseudo critères de modernité/v’là des alphabétisés ou non de vouloir coûte que coûte ressembler «aux messieurs de la ville aux messieurs comme il faut»  guindés/versés dans la course artificielle à l’armement matérialo-financier portant caution à la chosification de la gente féminine/elle d’ébène de peau aux cheveux crépu d’un charme nature/voilà l’Africaine rouge affadi de peau argumenté de très longs cheveux frisés/barrés d’un sourire mécanique d’auto satisfaction/déclenché à la manivelle «du « souffrir de soi»/entre nuance et différence le gouffre est large/femme ! à défaut de carburer nature -mon terme consacré- la nuance t’irait mieux pour la sauvegarde de l’éclat qui emballe/véhicule un regard rassurant une parole de paix un sourire nature/souffle de cette Afrique africaine où «la place d’une femme est dans la lutte» /femme plurielle commence par cela/libère-toi des ténèbres d’une illusion rongeuse/en ces temps de chamboulement mondial où seul prévaut le langage de l’épée/femme noire reprends-toi arrache-toi de l’artificialité pour éclairer le chemin de tes enfants/reprends toi pour semer la grandeur d’une Afrique en enlisement culturel et spirituel/«l’impérialisme culturel est la vis de sécurité de l’impérialisme économique » avise C. A. Diop/ femme ! toi mère de tous sais-tu que « Les nègres, … n’ont que trop travaillé./Pourquoi faut-il de plus apprendre dans des livres/Qui nous parlent de choses qui ne sont point d’ici ? » /et de poursuivre sans équivoque par la sentence «mais  moi je ne veux pas être ces messieurs de la ville»/sur fond de rythme battant du cœur révolutionnaire des Antilles Amériques Afriques/et leur jeunesse en souffrance du colon nègre et son maître/réclame la déconnexion implore «Seigneur, je ne veux plus aller à leur école,/Faites, je vous en prie, que je n’y aille plus » 

           Eh mec bouge-toi le c*l pour toujours être au combat jamais se plaindre/apte aux sacrifices par la plume le verbe l’action intelligente/la contradiction doit rester de mise/faut « déprostituer la langue » dit le poète ami/ reste donc debout du haut de la conviction d’être utile pas pour toi/mourir vrai c’est au champ de bataille des idées voire le corps à corps/sais-tu qu’il est des morts qui sont fêtées parce que/honorablement inscrites déjà dans le registre de martyr/des morts qui scintillent d’une victoire lumineuse face à l’ennemi/«Personne ne peut mourir en paix s’il n’a pas fait tout ce qu’il faut pour que les autres vivent -Albert Camus»/sinon casse-toi ! décampe ! barre-toi ! ah va nicher/ne sais-tu pas que toutes les manipulations sont permises/et en permanence distillées dans l’air dans ta vue et tes oreilles/mec ! le pauvre n'a qu’à se tenir soumis/au diktat des prédateurs et leurs séides/là-bas ici ou ailleurs nulle part peut-être après le déluge que sais-je ? toi non plus/le devenir des nouvelles générations en hypothèque quasi définitive/la dignité n’est plus, l’humilité défunte depuis belle lurette/les oiseaux migrateurs le long des parcours dénoncent l’air d’un monde en bifurcation dangereuse/le temps est morose encombré de nuisances les roses tout comme le sorgo le blé ont flanché/l’air lugubre et même houleux/la terre en dérive lente et sûre les cours d’eau en surchauffe livrent le message d’alerte/les politiques boiteuses voire hideusement inhumaines/au relent de fanatisme sous le poids d’un ego sur-artificialisé/tant il ne croient pas la posture jouée mais doit semer le doute sinon faire soumettre la populace/faut mentir encore mentir impudiquement/faire diversion pour museler mettre en troupeau de suiveurs des masses plus importantes/et aboyer encore plus fort à répétition par peur de laisser croire le contraire/mais voilà que le ciel témoin millénaires des sarcasmes/des barbaries humaines et saccage de la nature/rentre en ricanement des supposés puissants/qui livrent leurs puissantes faiblesses/longtemps vernies solennellement au journal télévisé/que de tromperies  par images/en fait que de la com toute cette modernité supposée rendre heureux/tout c’là vérifié sous peu par les imbéciles, incultes/suiveurs patentés sous overdose de la médiocrité/du crétinisme achevé/il risque d’être trop tard si l’équilibre ne s’opère par tri méritocratique. 

Seydou Beye

beyeimpact.art@gmail.com

[1]Théorisée par Samir Amin.

[1]Approche d’analyse transactionnelle Eric Berne.

[1]« Fauteuil envoûtant » in Les brisures de soleil, Recueil Poésie, Seydou Beye L’Harmattan -1998.

[1] Oklahoma États-Unis à Tulsa le quartier de Greenwood connut un massacre de masse du 30 mai au 1 er juin 1921. Une foule d’Américains blancs massacre la communauté noire et brûlent leurs maisons et entreprises.

[1]« Les mots du silence » in Les brisures de soleil, Recueil Poésie, Seydou Beye L’Harmattan -1998.

[1]Adage russe

[1]« L’intégration alibi une guillotine sociale - Réplique pour une sociéthique.» Essai, S. Beye Ed. L’harmattan, 2009.

[1]La cabale avec fort très embrigadement de nègres frelatés contre l’homme noir intègre panafricaniste.

[1]Prière d’un petit enfant nègre pp. 86-87 in Anthologie de la nouvelle poésie nègre et malgache – de la langue française ; L. S. Senghor / PUF 1992

[1]Assata Shakur militante Afro américaine en asile à Cuba

[1]Prière d’un petit enfant nègre pp. 86-87 in Anthologie de la nouvelle poésie nègre et malgache – de la langue française ; L. S. Senghor / PUF 1992. 

[1]Ibidem

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