Cher (e) s Ami (e) s,
Parodiant un slogan publicitaire en cours, je dirais « je ne sais pas vous, mais moi, j’aime ma ville » et les municipales (premier tour le 23 mars) sont un enjeu énorme pour le devenir de MARSEILLE. Quelque chose doit absolument changer si on veut endiguer la haine sourde qui suinte au quotidien dans le social de notre pourtant si fascinante ville.
J’entends autour de moi avec insistance que la candidature de Pape Diouf est négligeable ou bien en écho à M. Mennucci qu’il est « dans une démarche messianique » et j’en passe : bref un traitement par le mépris ou son inverse, le renvoi à l’irréalisme.
Avez-vous pris un petit peu de temps pour consulter le site de sa campagne « changer la donne » ? Avez-vous pris le temps de vous rendre à ces rencontres interactives qu’il organise avec son équipe : je l’ai fait dimanche 02 mars et je vous donne mon témoignage.
C’est sérieux : D’une part la personnalité de cet homme a déjà fait ses preuves en termes de capacité à fédérer pour le meilleur des énergies humaines jusqu’alors bloquées dans des querelles délétères, je fais référence ici à son passé réussi de président du club de l’OM: il sait pacifier et nous en avons besoin! D’autres part, l’équipe dont il s’est entouré est composée de citoyens, venus de professions différentes dans lesquelles ils ont fait la preuve de leur engagement et de leur sérieux, et qui se proposent de mettre leurs savoirs faires au service de leur ville. Et puis, leurs discours… construits au fil de leur pensée et dans une interactivité véritable avec les participants de la salle ( dont je faisais partie) et pas des suites de phrases travaillées, joliment tournées, servies avec des accents de conviction qui doivent plus au théâtre qu’à la sincérité comme la plus part des politiciens « professionnels » nous servent jusqu’à l’écœurement depuis trop longtemps. Ici, on parle vrai et çà se sent, çà se vit : ce n’est pas du semblant ! L’engagement à faire vivre la démocratie et à rétablir la politique comme étant l’affaire de tous est une réalité palpable.
Un exemple parmi cent : la salle d’accueil (de cet « anti-meeting) était organisée en tables rondes multiples avec une quinzaine de participants « lambda » comme moi, et un colistier au moins par table. Long temps de discussions à chaque table à propos du « contrat citoyen » et des notes prises, puis le temps d’interventions interactives avec la salle de chacune des personnes tête de liste et compétentes dans un domaine du contrat.
Alors, si l’avenir de Marseille vous concerne, SVP, prenez le temps de considérer avec sérieux cette candidature de Pape Diouf : c’est la seule qui soit novatrice, réaliste et qui ne développe pas de langue de bois.
Merci pour notre belle capitale du sud de voter avec intérêt pour ces municipales !
Bien amicalement.