Ayant un cœur fier et loyal, et me souvenant de ce que fut le CONGO, il y a un temps, pas si lointain, je me dois de réagir aux écrits de Monsieur Anatole Collinet MAKOSSO, Ministre de la Jeunesseet de l’Éducation civique, sur sa réponse faite à Monsieur le Professeur BOWAO. Ma réaction ne vise pas à défendre ce dernier, bien qu'il se soit montré très habile et fait preuve de courage, mais à participer au triomphe de la vérité car, comme l'a dit HEGEL, « La vérité ne se trouve ni dans une thèse, ni dans une antithèse, mais dans une synthèse naissante qui les réconcilie » (1). Et j'ajouterai que « La vérité est comme le roseau, elle n'est jamais terrassée» .
Pour tenter d'y parvenir, je me garderai d'être prolixe et d'avoir un style ampoulé afin que les internautes et la jeunesse sacrifiée suivent le cheminement de ma pensée.
Monsieur le Ministre Anatole Collinet MAKOSSO répond à Monsieur BOWAO, à la place de Monsieur le Président SASSOU NGUESSO pour, dit-il, des raisons d'encadrement et d'éducation de la jeunesse civique dont il a temporairement la charge et qui généralement s'abreuve à la source de leur expérience et de leur connaissance. Cette motivation est, à s'en tenir à la seule logique, spécieuse. Qu'importe! La jeunesse congolaise ne sera plus dupe.
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