Au Congo-Brazzaville, depuis l’installation des sorciers Vaudous appelés aussi « Boko », c’est-à-dire ceux qui possèdent la capacité surhumaine de sortir les morts de leurs tombes ; les cimetières sont devenus des gisements, et les ossements humains, des matières premières produisant des énergies utilisées par ces Congolais venus d’ailleurs, pour écraser les Autochtones Bakongo-Batéké-Pygmée.
Avant tout, la violation ou la profanation, par quelque moyen que ce soit, de tombeaux, de sépultures ou de monuments édifiés à la mémoire de nos ancêtres est inadmissible. Pourtant chaque jour dans notre pays, des tombes sont profanées et dépouillées de leurs corps ou de leurs ossements. Les coupables sont parfois arrêtées. Mais à la grande surprise, personne n’est condamné. Conséquence, à chaque enterrement aujourd’hui, le petit peuple est obligé d’asperger le corps du défunt d’acide sulfurique, pour rendre les ossements inutilisables.
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