Le Congo est à la croisée de chemin et à l’orée d’un grand changement où, les Congolais vont choisir entre la liberté et la domination, entre la justice et l’injustice, entre la démocratie et la dictature, entre le tribalisme et le patriotisme, entre la légalité et l’illégale, entre la légitimité et l’illégitimité et entre l’égalité et les discriminations.
Toutefois, nous pouvons définir la vacance du pouvoir, comme étant un temps pendant lequel une autorité légitime n’est plus exercée parce que son poste, ses charges ou ses fonctions restent vacantes, c’est-à-dire se trouve momentanément dépourvu de titulaire, inoccupé ou vide.
Par ailleurs, beaucoup de Congolais résignés continuent d’affirmer que la décision de tripatouiller la constitution a été prise et, les nouvelles dispositions ont même été déjà rédigées : « nous ne pouvons rien faire ! »
Bien sûr, nous pouvons faire quelque chose, mais à condition que dans cette longue bataille, nous ne puissions obéir qu’à la constitution de faite de 2002, car c’est cette constitution imposée par les putschistes de 1997, qui nous apporte un capital d’avance, obligeant SASSOU NGUESSO de partir à la retraite en 2016 : articles 57,58 et 185.
Demandons-nous ce que pense BISHIKANDA DIA POOL sur cette question, notre réaction tournera sur les deux points :
-si SASSOU NGUESSO refuse de partir et tripatouille la constitution pour un troisième mandat de sept ans, cela entrainera ipso facto la vacance de pouvoir et, le peuple Congolais demandera illico presto son départ du pouvoir sans condition, puisqu’il se fera lui-même auto-exclu du pouvoir.
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