Après-être passé à côté du destin tracé par la conférence nationale souveraine en 1991, un nouveau rêve fait renaître cet espoir de démocratie perdue en tout Congolais : les articles 57, 58 et 185 de la constitution de faite de 2002, qui limitent le nombre de mandats successifs de sept ans à deux et fixent l’âge limité pour être candidat à l’élection présidentielle à soixante-dix ans.
Ce qui veut dire, Sassou Nguesso ne pourra plus être candidat à sa propre succession en 2016 ; c’est la constitution de faite qu’il a imposée lui-même aux Congolais, qui l’affirme. Il n’y a donc ni complot contre lui et, ni complot contre le nord.
Les Congolais sont conscients que la tentation de vouloir s’accrocher au pouvoir est devenu un instinct de survie pour Sassou Nguesso.Puisqu’il est venu au pouvoir par un coup d’État. Comme tout dictateur, il a peur des représailles après la présidence. La hantise d’être dérangée dans son sommeil par la justice, le hante jour et nuit.
Le Congo est donc de nouveau face à son destin, mais comme avant la conférence nationale souveraine, le sort du pays est entre les mains des Congolaise du nord qui le soutiennent massivement et, qui sont prêts à mourir pour lui. D’où les interrogations des autres Congolais: Sassou Nguesso partira, partira pas, les frères du nord sont-ils prêts de séparer leur destin avec celui de Denis Sassou Nguesso ?
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