APRES LA PREMIÈRE GUERRE MONDIALE PARIS EST UN BOUILLONNEMENT DE CULTURE. C'EST L'ENDROIT OÙ IL FAUT ETRE.
A l'entrée de l'exposition, une belle idée. Une carte du monde affiche l'origine de ces pionnières.Chine, Inde, Brésil, Danemark ... Seulement cette carte censée éclairer le visiteur est dans la pénombre. Autre déception, la borne tactile pour surfer sur les années était un peu folle , en panne aux deux visites ..
Tout n'est pas perdu, il reste cinq salles pour découvrir quarante cinq artistes. Tout l'éventail créatif est représenté. Littérature, cinéma, arts plastique, cabaret. Certaines de ces artistes sont tombées dans l'oubli mais elles irradient de nouveau entourées des grands noms comme celui de Marie Laurencin ou Suzanne Valadon . Magnifiques toiles.
Pour le public, vu l'affluence, deux temps forts. La salle consacrée à Tamara Lempicka et aux garçonnes et .... la vidéo de Joséphine Baker. A la sortie, des enquêtrices tout de noir vêtues font un sondage auprès des visiteurs sur leur ressenti. A la question : "Recommanderiez-vous cette exposition ?" Deux dames prennent la question très au sérieux:"Nous avons des amis qui ont prévu de venir. On ne va pas les décourager ni les encourager".