********************************
Canstros : La guerre des géants aura bien lieu #Sarkozy #Takieddine #DSK
Canstros : The war of the giants will take well place #Sarkozy #Takieddine #DSK
keywords : Grèce, Zeus, Era, Ilyena, viol, inceste, drogue, maltraitance, faits-divers, médias, santé, politique
********************************
La fête énivrait tout le monde. Les musiques étaient sourdes aux oreilles. Elle n'avait Dieu que pour lui. Il n'avait d'yeux que pour elle. Je vais vous conter une histoire belle de belle rebelle à pour chasser les "secrets stériles".
(personnages inventés et droits d'hauteurs réservés pour bibi, pour les enfants désoeuvrés, michelb).
Bien à vous.
Il semblait s'affairer à discuter pendant les ripailles. C'est vrai qu'une guerre se préparait terrible que les 300 assumeraient. Le Roi s'entretenait de guerre, contrôlant tout, bombant le torse, fanfaronnat comme il se doit d'ête la main, celle sur qlaquelle tout repose. Mais la main ne lui servait qu'à manger. Manger ? Même pas! Il grignotait, roi honteux, bafoué, qu'aucun des regards d'Ilyena ne se porta à lui. Beau de longs sourires et de dents blanches acérées, éclatant de rires divins et gras pour ne calmer la libido, l'assemblée l'admirait en un spectacle convenu que le protocole a serré. Tout le monde savait qu'il y aurait hécatombes mais plus que de se battre contre le barbare, chacun ignorait la lutte qu'il menait. Ilyena était devenue putain, fille sage et douce conquise à Dieu, objet des ires intérieures, méandres d'horreurs d'un père pour sa fille.
Tandis qu'il discutait avec ses commandants sur le plan de bataille, ses doigts tremblaient en tenant la coupe si peu. Il ne savait plus comment attirer le regard de son enfant. C'était dangereux qu'un roi afféré à d'autres histoires que le salut de son peuple secrétement n'était conduit qu'à une unique pensée.
Il fut un temps, souvenosn-nous, où le plus grand roi de tous les temps Canstros s'adonna aux orgies quand il fut obligé de rester la main dans la poche. Qu'un jour le serpent le prit en tourments et lui délecta dans les veines un poison qui le laissa hisurte et pleurant le temps de se ressaisir en bataille décisive. Il savait. Il gagnera, aux yeux du monde sa bataille tandis qu'il ne comprendra jamais pourquoi il avait déjà perdu.
Sa femme, la reine, sa reine, celle que le peuple adorait dont il était si fier de montrer sa conquête. Lorsqu'il sut, sa colère devint tourments muants en curée. Ses soldats creusèrent conscients ce qu'ils appellèrent le puit du fou. Mais n'étaient-ils eux même fous, de satisfaire la vengeance de Canstros, en violant, égorgeant, vidant tout le peuple de Miklos qui n'avait commis que faute d'aimer la reine obéissant à ses moindres désirs. Le puit fut rempli jusqu'à rabord de dizaines de milliers de bras et de jambes qui dépassaient. Et pour mettre un terme à l'histoire le roi s'avança, releva sa toge d'un violemment étalant sa conquerrence, sortant son sexe brutalement tandis que les visages horrifiés de tant d'impudeur ne voyaient plus les morts, la mort. Ils n'entendaient plus que le bruit de la pisse qui se déversait chaude et gluante sur les têtes d'enfants fracassées.
Canstros continua de mener la poisse tambour battant et oublia quand la terre trembla si éclatante et divine, quand la tempête lui souffla aux oreilles sans trop de dégâts. Qu'il oublia encore et encore fut définitivement son malheur.
Ainsi donc la femme qu'il perdit était le drame de sa vie. Plus roi, il fui fallait le devenir et monter les marches de la gloire pour plaire à ses yeux. Mais la belle intransigeante lui avait fait son affaire et cette tuerie de peuple l'avait éloigné toujours plus et plus loin de ses espérances. Devant tant de faiblesses, le malin que put que continuer de le prendre, facilement et lui glissa incidemment : "il te reste ta fille". L'idée saugrenue initialement comme s'y entend le démon, se promena en son être provoquant plus de guerre qu'il n'en eut connues qui lui firent perdre la guerre. Du goût suave de libido pressante, il comprit, sa fille était déesse plus belle que sa mère, probablement plus digne, il se mit à l'aimer.
Oh! Mon Roi, tandis que nos batailles sont rudes, nous diras-tu enfin ce que sera demain?
Ses yeux désemparés cherchaient apeurés comment lui apparaître tandis qu'Ilyena restait visage fermé, troublée des yeux de son père qu'elle eût connus plus doux. Elle voyait les yeux d'un amant proche que son entente refusait de croire. Elle ne souriait plus à ce chéri qu'elle avait béni, sachant que son for ne pouvait lui donner de crédit.
Il ne savait plus de ses désordres de batailles et ce combat fillial l'enflammait tant qu'elle consumait sa fille et ne le voyait pas. Il devenait dangereux, prédateur de vies, d'une vie devenue impossible en ces lieux.
Il usait de tous les stratagèmes de la séduction auxquels Ilyena commençait à se prendre qu'elle devait y répondre, pour soulager son père, en lui donnant raison, dérisoire et ridicule façon de céder à la tombe, mais seule issue, semble-t-il quand tout a été dit, que la femme doit être forçée, empalée, quand l'amour d'un père est plus fort pour sa fille. "N'est-ce pas raisonnable ?" se disait-elle. Mon corps n'est que mon corps, il n'est pas mon esprit.
Le père sentait qu'elle n'était plus loin de céder mais Ilyena ne savait se résoudre tellement son âme était pure qu'elle disparaissait aux draps blancs qui recueillait toutes ses larmes en les gardant précieusement en victoires contre l'adverse. Et tandis qu'elle continuait de pleurer, le ciel bleu lui disait de tenir, qu'il y a des chemins qui ont un bout. Ilyena entra en quête de la voie qui la garderait telle qu'elle est et resterait toujours émues par tous ses espoirs.
Mais les yeux du malin s'adonnèrent en spectacle que les foules s'en gênèrent sans toutefois oser s'offusquer, même du moindre mot qui aurait pu le sauver, qui aurait pu la sauver. Prisonnier de tant de lubricité, il somma à ses serviteurs de distiller dans sa coupe, chaque soir, une drogue orgiaque à laquelle s'adonna Ilyena sans savoir. Alors tandis qu'elle dormait évanouie, il arrivait doucement d'un pas pleutre mais décidé de se servir.
Le ciel se fermait, Ilyena ne commandait plus cette torpeur qui brouillait, broyait son intérieur pénétré d'elle ne savait quel malheur. Elle déambulait dans les couloirs du temple et cherchait la sagesse des anciens, remède à son déshonneur, miracle à son goût de vivre. Longtemps elle voyagea comme un fantôme et que ce mal se répéta en disgrâcieux fourbe qu'elle ne savait chasser.
Mais ironie du tort, celui de chercher ce qui est difficile, elle se mit à regarder les cieux dont une création minable qui se promenait rapidement sur les dalles lui vint en secours.
Assise sur le banc de marbre, préféré de ses moments de repos, lorsque l'étude épuise l'entendement, elle explorait tendrement le visage de Zeus dont les yeux irradiaient puissance et apaisance, tout à la fois, la protection la plus ultime qui lui redonnait vie. Son visage s'éclairait d'un léger sourire contemplatif qui ravissait sa mère qui venait la chercher. Tant de candeurs auraient usé mes yeux de bonheurs que j'aurais voulu n'être qu'un soldat de la garde pris à son amour. Mais peut-être étais-je cet homme debout, dont le métier est d'attendre, statue de garde au chevet de la grande porte au loin? Pleurait-il indigné de la peine de l'enfant ou de sa famille enfouie dans un puit ?
La souris trouva un faible interstice pour s'y engouffrer sous le regard de Zeus amusé et Ilyena en fut profondément bougée de sa langueur. Relevant les yeux, elle vit des perles scintillantes sur l'armure terne du soldat. Elle n'était donc seule à souffrir et compatit de suite à cet homme qu'elle ignorait, qui croyait garder sa porte, seule espoir fermé de sa vie, sans savoir que Zeus voulait simplement le garder à ses côtés.
Sa mère était son univers et d'une très grande beauté, elle avait le pas doux et délicat de la philosophe. Ilyena était bien plus belle fruit de passions inavouables mais ne faisait ombre à sa mère car elle était prude d'habillement, de sagesse, d'effacement. Une enfant douce qui couvait l'espoir de l'humanité, une force terrible à laquelle personne n'échapperait. La voyant si belle avancer, au contraste fort de la souris délurée, elle comprit qu'un rien est tout. Elle sut alors regarder les perles sur la poitrine de sa mère, si ternes et crut apercevoir les perles du soldat dans ses yeux. Cette révélation arriva comme un air pur qui défend ses rivières. La vie ne tient qu'à un interstice pour que la peine ne vaille pas la peine.
Lorsqu'elles passèrent devant le soldat qui croisa bravement l'interdiction de son regard, il vit le sourire doux d'Ilyena et son coeur se tourna, comme le glaive qu'il avait si souvent bougé dans le corps de l'ennemi, dans tous les sens d'un honneur aimant qu'il avait oublié dans le sang.
Era, la maman d'Ilyena, avait tout vu, comme à l'accoutumée chaque détail comptait, elle le saisissait, mais elle désespérait pourtant du trouble de sa fille, véritable oracle absent à sa pensée, sans le montrer. Son coeur se mua en entier en bonheur joyeux de voir sa fille grandie.
"Maman, je veux partir!"
Era sut qu'Ilyena devait devenir souris pour se sauver. Ilyena quitta le palais et dans sa retraite fabrica son univers empreint de Zeus et de philosophie. Elle ne voulait que le calme de l'esprit pour se préparer à accueillir celui qu'elle choisirait.
Ce soir, Ilyena ne voyait plus son père depuis longtemps.Il ne pouvait plus la droguer et abuser d'elle. Il était devenu fou et chaque occasion, même la guerre avec son vieux père qu'il humiliait devant tout le monde, n'était que pour délivrer sa puissance croyant plaire à sa fille en se montrant fanfaron. Ilyena n'imaginait rien des tourments du père qui s'acharnait sur son grand-père devenu faible. Elle n'avait aucune idée de la dette universelle entre les deux hommes. Elle subissait les assauts télévisuels de son père cherchant à rompre son harmonie pour gaver la sienne. Il pensait que si elle était là, c'est qu'elle ne savait rien de sa malice, et c'était vrai, qu'elle l'aimait encore et ne s'interrogeait pas du malaise de sa fille, lui tout à son aise. Roi, Dieu, il n'avait que faire de quelqu'un, ne fusse même sa fille. Il voulait la séduire du regard et s'agaçait de n'atteindre les yeux d'Ilyena qu'il voulait inonder de regards libidineux et aimants en artifice de prunelles rieuses au démon de midi. Seule, apeurée, Ilyena insistait à ne pas donner de nom à la manoeuvre de peur de détruire ce père qui fut si tendre, avant.
Ilyena leva la tête. Surprise. Un voix avait cassé l'ambiance. Parvenue du haut des marches de l'entrée. Interrompant les musiciens et les danseuses qui tentaient d'adoucir le brouhaha hystérique. Cette voix douce autant que de colère déguisée qui déclama :
"Castros! Tu n'es plus."
Elle reçut cette vindicte comme une lettre personnelle ce qui aiguisa son besoin de regarder le messager.
L'homme se tenait droit. Il n'était pas prince et osait s'adresser au Roi, libre. Les deux hommes se regardèrent sans broncher dans un temps qui fut long, si long. L'assemblée ne bougeait plus ou plutôt , n'osait plus bouger sur cette scène incongrue. Quelle étrange mirage que de voir un Dieu croiser le regard d'un commun, de cet homme à mains nues qui s'imposait au Roi perdu dans ce combat confondant. Canstros savait tout sauf sa culpabilité et là comme par sortilège, elle lui venait en tête. Il ne savait comment jouer le jeu tel un enfant n'ayant plus de jouet. Il chercha les yeux de sa femme qui l'ignorait et se rabattant sur sa fille, ne vit que le noir de son foulard. Elle s'était complétement retournée pour comprendre cet homme sage qui parlait, elle avait aussi retourné son coeur.
L'atmosphère était lourde, pesante comme la pensée la plus oppressante vivant d'un vide pouvant être éternel. Ilyena trouva cela plaisant qu'un anachronisme du temps que sa jeunesse l'approchait d'un nouveau père aux yeux calmes qu'elle cherchait du regard mais lui ne la cherchait plus, il l'avait trouvée, il était venu pour elle, selon l'hommage de Zeus. C'est qu'au fond, elle avait toujours su qu'un jour, un matin, ses draps blancs le resteraient.
L'homme descendit les marches et sa bure écartait la foule intimidée et curieuse délivrant un chemin qui le menait au Roi. Droit, face au Roi, qui sentait sa colère le serrer et se contenant, car la parole de l'homme en République était sacrée, le questionna d'une voix pas trop agaçée parce qu'il ne pouvait en être autrement pour un Roi.
- Le Roi : Qu'as-tu à nous apprendre qui vaille que tu troubles nos aisances, que tu casses nos festivités ? Quel est ton nom ? Qui t'as invité ? Qui te permet ?
- Je m'appelle Res. Zeus m'a dit de te dire que tu ne gagneras plus de victoires. Que ce soit 2, mille, douze, tu n'es plus!
Le Roi ne savait plus que penser devant cet homme qui imposait le cours du temps et ses mots se perdaient.
- Comment saurais-je que tu dis vrai ? N'es-tu une ruse de l'ennemi pour me terrasser sans verser le sang ?
- Ah! Les preuves, comme les mensonges qui sont des preuves, mais pour qui me prends-tu ? pour quoi ? Tu sais très bien, tu sens au fond de toi quelle vérité je dois cacher pour retenir les foudres de Zeus. Alors tu veux des preuves de l'iniquité, de l'injustice, de l'impudeur des hommes qui détruisent le père ? Ohh! Ne me mets en colère, je t'en prie. Ne te mets pas en péril!
Le Roi ne comprenait plus la présence de cet individu supérieur à sa suffisance, à sa puissance, un doute incroyable l'anéantissait.
- Qu'est-ce que ce malaise que tu m'imposes ? Pourquoi ai-je mal soudain de ma poitrine au ventre ?
Le Roi posa fortement la main sur son coeur et chercha autour de lui rencontrant les yeux inquiets de Ilyena. C'est alors que devant la tendresse apportée, il se laissa couler des larmes de sang.
- Que veux-tu de moi ? Qui calmerait Zeus et nous protégerait dans la guerre ?
- Ne te moque pas de moi! Tu sais que tu dois te rabaisser, tu quitteras ton royaume de l'esprit dément et tu donneras le pouvoir d'ici-bas à ton épouse. J'emmerais Ilyena.
Ilyena ouvrit grands les yeux surprise que l'inconnu la connaissait. Il l'appelait de son prénom et son coeur chancela. Ainsi donc cet homme qui ne la regardait pas, la connaissait et voulait l'emmener. Quelle curieuse sensation l'envahissait qu'elle cherchait son visage et voulait lui montrait les yeux. Une intuition profonde l'entraînait déjà dans un abandon impavide auquel sa philosohie n'aurait du reconnaître la moindre légitimité. Elle sentait vouloir et pouvoir se donner.
Le Roi, le père dans ce combat entre géants, comprit qu'il perdait, d'avoir été si grand, ignoré de sa femme, jaloux de ce prétendant qui lui ôterait son dernier lien, explosa soudain d'une colère féroce.
- Gardes! Prenez-moi cet homme! attachez-le et jetez le au puit vivant et qu'il y meurt, vous ne m'apporterez que sa langue!
Les gardes ne bougèrent pas tétanisés de cette guerre réservée aux dieux.
Ilyena se leva, approcha de Res dont le visage se pencha, maintenant, aux yeux de la jeune fille, perdant les rides de l'intransigeance et offrant une peau apaisée et sourire tendre. Ils restèrent ainsi regard dans regard indifférents au spectacle qu'ils offraient aux spectateurs médusés. Elle finit par s'enfoncer dans le corps de Res comme pour s'y noyer.
Le Roi, amant éconduit, n'en pouvait plus de rage contenue.
- Tu as gagné, prends ma fille. Mais qui es tu ? Dis-moi! Laisse moi comprendre.
- Je suis toi, que tu as oublié!
Era regarda son enfant partir avec l'inconnu. Elle se leva et dit aux musiciens de se remettre à jouer, aux danseurs d'amuser. Aux premières notes, Ilyena, près de son 'nous', tourna son visage vers sa maman. Les deux femmes se regardèrent tendrement et se sourièrent complices et malicieuses.
Era prit commande du royaume.
Canstros jusqu'à nos jours se demande encore ce qui lui est arrivé.
Jessie J - Price Tag ft. B.o.B.
(@lepost.michelb)
Elle était jolie l'assiette de soupe. Le bouillon chassait ses volutes dans mon nez bien suspendu dessus. Je m'amusais à compter les croûtons gras nageant...
(@lepost.michelb)
Le pavé arpenté sous la lumière grise du soir parisien, ses semelles se mouillaient à la pluie dont les gouttes envahisseuses trempaient les pieds. J'aimais...
(@lepost.michelb)
@ Barbara fêtera sa naissance le 9 juin 1930 et Isabelle Caro le 9 septembre 1980
Barbara est née le 9 juin au début de l'été et Isabelle le 9 septembre au sortir de l'été.
Elles meurent toutes les deux un Novembre, Barbara le 24...
(@lepost.michelb)
@ La première fois j'avais six ans, mon père entra nu dans mon bain
@ Viol, tortures, maltraitance, inceste, prostitution forçée : rien n'arrête les déments pourtant c'est un assassinat
Une ado violée dans la rue à Marseille AFP Mis à jour le 12/08/2011 à 06:43 | publié le 11/08/2011 à 20:59 Réactions (356)
<<...
@ DSK : ou IRAK, c'est le cul qui mène les humains malsains pour du vent LOL!!!!!
Le cul malsain ne mène qu'aux malheurs des humains, motive les guerres, les mafias.
*********************** DSK : ou IRAK, c'est le cul qui...
@ Grèce : la privatisation de ce pays fait exploser le taux de suicides
La Grèce ayant chanté tout l'été
se trouva fort dépourvue Grèce : la privatisation de ce pays fait exploser le taux de suicides Greece: the privatization...
18/08 | 5251 lectures
@lepost.michelb
@ Coluche : hier m'a dit 'ch'tiot écoute...DSK porte la poisse'
Mi DSK y'm'fait peur pour 2012, il porte la poisse....
*************************** Coluche : hier m'a dit 'ch'tiot écoute...DSK porte la...
24/08 | 4594 lectures