Du moins, est-on en droit de l’imaginer, de l'extrapoler... A la vue des images amateurs tournées ce jour là ?
Mais on ne saura probablement jamais, la pleine et entière vérité. La fameuse : vraie Vérité vraie ! A la : je l'jure. Si je mens… A propos de cet épineux événement, propre à être estampillé : « Confidentiel-Défense ». D’autres, de ces balles de nos troupes d’assaut ; RAID, GIGN et collègues ; ont fini dans le corps de « victimes collatérales »… Apprend-on sur BFMTV aujourd’hui… De nouvelles victimes recensées donc. Mais elles, par définition, plutôt : innocentes. Sauf à être coupables d’avoir habité là. Ce jour là. Et d’être, à l’origine, « sans-papiers ». Victimes, qui, finalement, portent plainte contre l’Etat pour être reconnues à ce titre. Dont un homme, qui semble avoir depuis les attentats, et les faits de "Guerre" qui s'en sont suivi, obtenu un titre temporaire de séjour. Comme en guise d’une gratification exceptionnelle. Toute républicaine. Donc incompréhensible. Due, peut-être, aux circonstances obscures de l’assaut. Mais pas d’indemnisation pour ses blessures. Celles liées à sa présence, pourtant fortuite et non coupable, dans l’appartement voisin de celui des dits-terroristes. Dont faisait parti notre Ben Ladden à nous : Mr Abaoud… Et sa cousine « c’est mon copain !... ». Abdelhamid Abaaoud plus exactement, si ma mémoire est bonne. Ennemi publique N°1, à rayer de la carte, sans autre forme de procès… pour… Ne surtout pas l’interroger !? En Urgence !
Qu’en penser ? Etant entendu qu’on sait par ailleurs, qu’ayant dénoncé son amie apprentie-terroriste, présente dans l’appartement ; une certaine autre jeune fille; providentielle informatrice de nos services de police dans cette affaire; y aura tout perdu. En tout cas, elle ne semble pas y avoir gagné la gratitude républicaine. L’Etat français, n’étant, selon elle, pas très pressé de prendre en charge les dégâts occasionnés dans sa vie, dissolue depuis lors. Auto-détruite, par son acte de « bravoure » et de patriotisme. Sa vie, entièrement gâchée, pose en effet la question de notre capacité, voir de notre volonté, de protéger les témoins sensibles dans ce type d’affaire. Tout exemplaire et salvatrice que soit l’impulsion citoyenne dont a fait preuve cette jeune femme, en faisant un acte de délation ayant contribué à sauver des vies, au péril de la sienne ; la France, à travers ses autorités politiques, aura, semble-t-il rechigné à honorer sa dette envers elle ; pourtant de sang. Pour « Service rendu à la Nation française ». « Non, laisses donc traîner!... On s'en fout clairement! ».
Tout cela pose certainement, par ailleurs, un problème de Droit, et de Morale; au sens juridique. A l’échelle internationale. Et au sens de la Philosophie humaniste, universelle. Quand il s’agit d’éliminer des personnes ; sans procès équitable ; en situation de prévention de leur crimes, prétendus à venir, mais définitivement in-avérés, par l’élimination même des dits « suspects ». Cette plaidoirie en faveur de l’éradication des « sources de risque », fussent-elles des civiles innocents : des enfants, des médecins, des journalistes, des humanitaires ou des femmes enceintes… On l’a vu et revu, ces derniers temps. Une banalisation du : « Fuck Genève et la DUDH ! », devient omniprésente au nom de l’exception prétextuelle qu’induit la « Barbarie » terroriste. Même hautement dangereuses pour la société ; puisque s’appuyant sur une simple présomption de culpabilité; établie dans l’ignorance démocratique que recouvre le « Secret-Défense »… Il semblerait qu’on puisse, dans nos Démocraties, libres et éclairées, de plus en plus facilement et « librement », manipuler les dispositions législatives, à des fins de reculer les limites du concept fourre-tout de : « prévention des risques d’attentats » par l’ « élimination ciblée ». Sur la seule base de documents établis par nos services de renseignements. Eux-mêmes, largement noyautés, ou sous influence, est-on en droit de penser, parfois. L’assassinat préventif serait, veut-on nous convaincre, une nouvelle arme légale. Un nouvel outil institutionnel et "démocratique"; parmi d’autres. Voilà tout. Circulez, vous autres! Les manifs, les NuitsDebouts!... Et tous les autres « contestataires », dits "casseurs", ou apprentis terroristes, eux aussi, pour l’occasion. Assignables, c’est commode. C’est vrai. Au nom de la sacro-sainte, et sur-galvaudée : Sécurité… Y compris dans ses applications les plus liberticides. La rabâchée priorité sécuritaire se trouve être bien souvent maléable, multi-fonctions, travestie et même pervertie, en effet. En fonction des besoins du contexte politique du moment. Devenant une injonction (SECURITE) parmi les plus profondément anti-démocratiques, par son essence même. Provoquant une sorte de syndrome de « Patriot Act tendance Guantanamo » à la française. Comme s’il nous fallait, nous aussi avoir notre propre Loi de « Défense préventive ». Une loi Suprême, voulue justement, primitivement amorale. A dessein. Par souci d’efficacité, de rationalité, et de pragmatisme. Vision cynique, d’une situation dramatique auto-révélée; et d’une sécurisation fallacieuse des populations. Faisant mines d’en découler. Nécessitant l’effectivité de dangers fantasmables, et surgonflés médiatiquement. Nous permettant d’obtenir, nous aussi, ainsi, notre propre Frankenstein juridique. Notre monstre allégorique. Bien bankable, et fashion en même temps. Nous enchaînant dans l’un des douze travaux mythiques qui s’imposent à notre Culture chrétienne ; d’essence gréco-latine... Dédicace à Hercule, et à David au passage. Nous sommes, nous disent Manuel&Co, face à une « Guerre : Totale et sans Fin ! ». Wahou ! On a envie de dire : ça fout les boules! Trivialement. "Help! Morphée! Help!...".
Tout ceci à l’instar, pourrait-on penser, du fonctionnement; adoubé et "coaché" en sous-main par les autorités françaises, durant les opérations de « contre-guérilla urbaine »; mis en place par les autorités des dictatures fascistes sud-américaines dans les années 70. Avec le soutien de notre « expertise », à ce propos. Et celui des anglais. Et des américains en particulier. Parmi d’autres, qu’il ne ferait pas bon citer tous. Ou, par exemple, aussi, sur le modèle de celles que nous menions nous-mêmes, lors de la Guerre d’Algérie. En direction des terroristes du « FLN », disait-on, en ce temps-là. Actions et opérations militaires et de police, plus ou moins assumées… En contradiction pure de la Convention de Genève, ou de la DUDH, même après leur ratification. Raffles, razzias, viols, tortures, exécutions sommaires... Que Mitterrand, ou De Gaulle, n’étaient pas sans connaître. Mais approuvaient, tous les deux, sans réserve apparente, à l’époque. Bénissant les pires exactions que le Totalitarisme sécuritaire de notre Vème République ait bien pu inventées. Tout cela, chez Nous. En France. Mais, vous me direz, de l’Esclavage à la Colonisation, il est vrai qu’il n’y a qu’un petit pas à franchir. Et dans : Histoire ; il y a histoire, et Histoire.
Et nous d’apprendre, sans broncher, que la CEE fut créée en 1957, en grande partie, par l’entremise de deux personnages, dignes de nos éloges, nous a-t-on appris, à coups de bâtons, dès le collège... Deux icônes pacifistes et fraternalistes; qui s’avèrent, après coup (après déclassification, en 2000 des documents américains concernant cette période), être des gentils agents infiltrés… Travaillant pour le compte de la CIA, et des intérêts politico-économiques américains en général. Eux deux : nos pères de l’Europe. Robert S. et Jean M… Mais Bordel ! « Y’a donc plus de valeurs, et depuis longtemps, dans ce pays !? Grand Charles réssucité, dit-nous : que faut-il en penser de tout ça ?... Les atlantistes semblent bien être de retour à nos portes, grand-père ! Non ? »
Et puis quoi encore !? Ben, Marie-France Garaud, qui n’aura pas joué qu’un rôle insignifiant durant notre cinquième République, de nous avouer, qu’elle, et donc bien d’autres qu’elle-même, le savaient depuis le début… « Ha bon !? Ça alors !... Perlipopette ! ».
Mais, je m’égare, tout cela n’a certainement rien à voir avec mon propos initial, bien sûr… « Pardon, bwana ! ».
Ainsi l’Etat d’urgence ; voté en novembre 2015, et depuis prorogé, chaque fois sans trop de scrupules, par nos députés ; aura bien davantage servi à museler et assigner à domicile des activistes, d’oppositions diverses, qu’à déjouer des complots terroristes. Semble-t-il, au final.
Car quel rapport sinon, entre les assignation liées à la bonne tenue de la COP 21, ou de l’ordre publique au sens large, et des affaires de terrorisme international, et de Sécurité Nationale. Affaires, souvent troubles, dans lesquelles on apprend que ceux qui renseignent nos services, et agissent en secret, au nom des intérêts de la France, notre glorieuse et irréprochable Nation… Ceux chargés d’infiltrer, pour mieux les combattre, les filières de ventes d’armes remilitarisées, en provenance des pays de l’est, à destination de réseaux mafieux et terroristes en France et en Belgique, finissent en prison. Inculpés pour « recel d’armes de guerre » et autres chefs d’accusations. Bien qu’étant des « collaborateurs » reconnus de nos services douaniers…. Numérotés même. Militants d’extrêmes-droite, anciens militaires, ou des mouvements identitaires, pro-fascistes, barbouzards divers, connus de nos services… Etant avancé comme argument par l’accusation, sous réserve des suites judiciaires à venir, qu’ils aient finalement vendu, effectivement, les armes utilisées par le tueur de l’Hypercasher… Entre autres. Nos indics, bien qu'utilisés par nos agents de renseignement, de police et de douane, seraient donc quand-même, les pourvoyeurs en armes de nos assassins ? Qu’est-ce là ?
L’« Etat d’Urgence », prolongé, n'en n'est qu'une conséquence directe; ou indirecte, selon le point de vue adopté. Bénéfice incommensurable pour toute velléité totalitaire, cet Etat d'urgence prétendue, indigne de la Démocratie ; bientôt peut-être même rendu permanent ; pose de multiples questions. Dont celle de sa filiation et de son analogie ; qui paraissent évidentes ; à qui souhaite éviter de se crever les yeux et les tympans à la fois, tout en se lobotomisant ; avec les pratiques qui se banalisent, chaque jour davantage, de la part des Etats-Unis, et de tous leurs alliés, nous compris. Un peu partout dans le monde… Des frappes « ciblées », par le biais de drones hautement dociles à l’ordre qui leur est donné; quel qu’il soit; déversent des bombes aveugles, incendiaires, irresponsables; n’ayant de ciblée que leur pseudonyme militaire, et leurs spécieuses appellations médiatiques. « Chirurgicales, tes frappes, mon cul !… », disent les victimes innocentes. Par milliers. Voir dizaines de miliiers.
L’heure serait donc, en tous sens, aux « frappes préventives ». Sans retenue. Et, faute de réaction suffisante des peuples-coupables, rendus amorphes, « smombifiés », « Googlisés », « CNNisés »… (Hommage soit ici rendu à Siné, pour son œuvre insolente, certes, mais sincère). Plus personnes ne s’en prive de « frapper préventivement » !... La frappe préventive s’est d’autant décomplexée ; qu’elle s’est démocratisée. Répandue de par le vaste monde. S’adaptant aux particularités de chaque régime souhaitant la mettre en œuvre. Il y a chaque fois moyen, de trouver les quelques boucs-émissaires, nécessaires à ce scénario macabre, mais intemporel. Malheureusement, vraiment, universel, lui. A chacun ses méchants « Terroristes », bien pratiques pour légitimer toute action opaque, sous couvert de « Sécurité de l’Etat », en matière de répression des populations. Même éventuellement innocentes, on s’en fout, en fait!… La Cause, brandie à grand renfort de slogans marketés, et de néologismes, est bien plus grande que ces quelques victimes collatérales… Et puis, qui les écouterait, eux, ces gueux ? Ont-ils seulement des médias pour relayer leurs propres souffrances ? Même pas ! Alors !?... Et de voir réapparaître, avec effroi des phraséologies du type : « On ne fait pas d’omelette sans casser des œufs… », « Un bon terroriste, est un terroriste mort… avant même que sa culpabilité n'ait à être établie par la justice… », « Il n’avait qu’à pas se trouver là, c’est tout !... », simple présence aux côtés de terroristes présumés, équivalent sentence immédiate de peine de mort collatérale… Ou bien : « N’aurait-il pas été souhaitable, à titre analogique, d’éliminer Hitler dès 1930, si l’on avait su à l’époque les horreurs qu’il allait commettre… »... Et qui d’autres alors ?... Ou bien encore, « réclusion criminelle à perpétuité effective ». Le Monde se serait donc converti, dans son ensemble, nous dit-on, contraint et forcé, à une allégeance à la célèbre « Loi de la jungle ». Ou celle du « Far-West… A l’ouest du Pecos ». A « Darwin », dans son ethnocentrisme… Etc. On peut aisément observer, à regret, que ce type de discours, et les actions qui en découlent ; dont le relativisme emprunte à l’ambiguïté ; sont de nos jours devenues la Norme. Par les transferts des pouvoirs du Législatif à l’Exécutif que génèrent les lois d’exceptions ; elles-mêmes, présentées comme sub-conséquentes, ou consubstancielles de la menace terroriste. Les opérations occidentales, mais pas seulement (il n’est même pas besoin de citer les pays concernées, qui sont tous, plus ou moins tous, nos alliés historiques finalement…), imageant cette tendance, sont pléthore. Et l’on s’en félicite, unanimement, de l’Assemblée, jusqu’au gouvernement, en passant par la presse, les médias en général, et une partie de la société civile. Peu à peu on s’habitue ainsi à l’horreur évidente du « Crime de guerre par anticipation des risques ». Savament propagand. L’élimination, sans besoin de preuve, à discrétion, de tout élément décrété potentiellement « nuisible » à la Nation ; comprenons là : au pouvoir qui la dirige ; peut, et doit être prescrite, quand « bon » semble au Gouvernement. Sur simple décision administrative. De la définition de quel régime s’agit-il là ? La Démocratie ?... Ha! vraiment... Acquiescons donc, chers frères et soeurs; concitoyens, concitoyennes; chers congénères de tous ordres...
Les questionnements et zones d’ombre s’accumulant, depuis le 11 septembre, jusque dans notre actualité quotidienne ; à répétition ; presque exponentiellement ; agissent comme une nécrose sur l’opinion publique. Un véritable cancer, que la propension de nos forces de police, de sécurité et de renseignement, ne nous aident pas à traiter, lorsqu’elles se montrent plus prompte à abattre des terroristes « présumés », même peu armés, plutôt qu’à tout faire pour les capturer vivant. Et ainsi espérer voir émerger la Vérité sur tous leurs agissements, en faisant tout pour obtenir les précieuses informations qu’ils détiennent certainement. Les actions paradoxales et discutables de nos autorités, maintes fois réitérées, finissent par lasser et désemparer un part croissante de notre opinion publique. Certes, encore minoritaire, mais non moins conséquente. Dont font partie certains de nos jeunes, français, parmi les plus susceptibles de se radicaliser. Le risque, en cette matière, n’est effectivement pas à négliger, mais doit, certainement être traité autrement que par le déni, l’exacerbation des clivages, le parti pris identitariste, le dédain, les jets d’opprobre, la discrimination, la calomnie et le Mensonge.
Récemment, notre brave et sage Boris Cyrulnik prend « parti » lui aussi. Pour nous indiquer, après moult entretiens, dans les diverses banlieues de France ; avec les enfants de la République, « quels qu’ils soient » (Boris n’est pas raciste, bien sûr; il est psychiatre-psycho-sociologue…), et ceux issus de l’immigration en particulier ; qu’il y a bien des problèmes avec certains d’entre eux… Les Musulmans en l’occurrence. Encore une fois... Qui seraient, selon ses dires, pour un certains nombre d’entre eux ; malicieusement indéfinis ; des « gogos »… Entendez : des êtres en perdition d’âme, complètement « déculturés », nous dit-il. En perte de repères. En attente éperdue d'un héros auquel s'identifier, fût-il des plus barbares. Etres sans conscience; recherchant désespérément un âme, qu'ils ne sauraient avoir. Privés qu'il semblent en être, par leur nature même. Cruelle et fatale destinée. Dont notre "vieil" ami Boris s'attache à expliquer en quoi ils en sont bien effectivement responsables. Ces "gogos". Ces jeunes quasi-acéphaliques, et sectaro-prédisposés... Incapables de savoir prendre du recul, et ainsi d'accepter, avec résignation, le juste Ordre des choses de ce Monde, pourtant agréable à qui veut bien le concevoir... Certes donc, il semble qu'aussi selon Boris, que j'aimais pourtant plutôt bien jusqu'alors, toutes les Cultures ne se valent pas. Et que la nôtre, comprenez "La Nôtre": franco-française... soit prédominante. Dans l'idée, comme dans les faits. Définitivement. C'est tout. C'est comme ça! Ce bon vieux réflexe : l'Autre est différent, donc l'Autre est con! Normal. Encore merci Boris.
http://bibliobs.nouvelobs.com/idees/20160413.OBS8458/boris-cyrulnik-et-c-est-ainsi-qu-on-fabrique-des-gogos-armes.html
Peut-être serait-il temps ; en très grande urgence même ; de s’interroger sur la place donnée dans nos médias, à la parole de ceux qui connaissent les dossiers dont ils parlent ? Ceux qui ne sont pas partiaux. Ceux qui ne défendent aucune Ecole de pensée. Ni secte, ni thèse, ni doctrine, ni communauté… Si ce n’est celle républicaine, pleinement et dignement Nationale. Et bien au-delà ! Celle du bien-être : juste, équilibré, transcommunautaire, et partagé par toute l’Humanité. Réellement : Universelle. Nous sommes tous frères et sœurs. Selon moi… Je m’excuse. Comme vous-même le faites souvent. Et viendra bien le Temps où je demanderai même : "Pardon". Moi aussi.
Mais je vous fais une prédiction, indépendante de ma propension naturelle à l’humilité (lol), pourtant presque légendaire : demain, le fait d’être « Quelqu’un », au sens noble, dépendra certainement davantage du fait de faire preuve de franchise, de courage et de jusqu’au-boutisme dans l’exigence intellectuelle, dans l'humanisme vrai et intransigeant, qu’il ne confine aujourd’hui à la conformation aux codes divers de nos pouvoirs aliénants. Immoraux, zombifiés, apocalyptiques ; stériles pour Nous Tous. Même dits "démocratiques".
Utopistement vôtre.
Agrandissement : Illustration 1
P.S : je n’écris pas spécialement pour qu’on me « comprenne ». Cela s’entend bien, j'imagine. Mais juste parce que, jusqu’à preuve du contraire : si je n’écris pas, je meure. Tout simplement. Et si j’écris, je mourrai aussi. Donc, pourquoi s’en priver ? Moi, comme tout autre ? Soyons de bons Charlies. Les uns et les autres. Vive la France laïque et Républicaine ! La France outragée. La France insultée. La France un temps soumise. Mais la France… Libérée, au final. Comme aurait dit notre « bon vieux » Général... Nous, on y croit aussi ! Nous. Tous. Libérés. Pour Toujours. Egaux.
Agrandissement : Illustration 2