Mais qu'est-ce qu'on en a à foutre de ce que ferait cet obscur éco-libéral belge du pseudo-parlement eurotanien qui a déclaré que s'il était grec, il ne sait pas ce qu'il voterait?! Il ferait mieux de la fermer avec un mouchoir dessus, par décence! L'information a pourtant été relayée tambour battant par Mediapart...
Il y a actuellement un combat entre la démocratie d'un côté incarnée par la pauvre et courageuse Grèce et son référendum qui va dire un grand MERDE au joug financier qu'on nous inflige, et de l'autre toute la cour et l'arrière-cour des rapiats néo-liberaux (et autres sociolibs de la "hollandisation" -le rabaissement des peuples en pays bas à coup de reniements impudents et à 180° des promesses électorales-) avec en fond d'écran les forces spéciales panatlantistes armés de pied en cap et prêtes à réprimer toute insoumission d´un peuple à la dictatrue financière, non sans l'avoir préalablement assimilée à du "terrorisme" par les articles de ses brigades de plumitifs enregimentés, pour les besoin de la propagande, comme ça s'est fait en Ukraine d'ailleurs.
Et Monsieur Machin, co-président de son groupe d'écolibs, lui ne sait pas ce qu'il voterait?! C'est du scepticisme défossé ça, ou je ne m'y connais pas!
Mais la vérité Monsieur Machin, c'est que Z risque bien de se répéter en pire en Grèce, non pas immédiatement, mais quand la Grèce va vouloir sortir de l´EUROTAN et qu'elle va envoyer ses créanciers se faire voir Moscou, ce qui est assez probable, car pensez-vous que les vautours de la finance internationale peuvent tolérer de se faire ridiculiser par une démocratie et que les choses évoluent favorablement pour le pays concerné? Bien sur que non il leur faut désormais dissuader toute contagion de cette insolence insupportable en plongeant le peuple grec dans un feu grégeois économico-sécuritaire, ce que n'en doutez pas ils sont occupés à préparer (ils ont déjà sur place un groupe d'extrême-droite utilisable à ces fins). Et donc la seule planche de salut pour la Grèce consistera à se jeter dans les bras de Moscou, ce que l'EUROTAN ne pourra accepter. Alors la crise grecque pourrait bien confluer avec la crise ukrainienne et devenir un nouveau foyer d'incendie en Europe, ce qui d'ailleurs correspond aux intérêts économiques et stratégiques de nos grands frères amerloques, toujours secrètement heureux quand leur ami européen et néanmoins concurrent économique doit être "défendu" de toute tentation orientale par leurs bons soins "indispensables". Ça me fait penser à "Harry, un ami qui vous veut du bien". Il s'appelle Harry, Monsieur Machin?