La famine, la pauvreté et la maladie sont comme les trois méchants diables qui obsèdent la plupart des régions du continent africain, depuis très longtemps. En effet, ces problèmes qui se relient de l’un à autres, trainaient les pays africains sur une chaîne d’engrenage…alors, comment faire pour que ce continent puisse manger à sa faim ? C’est un sujet sensible qui tire beaucoup d’attentions de tout le monde.
Il ne faut pas oublier, l’ancien Président Jacques Chirac avait proposé, en 2006 une taxe de la solidarité internationale sur les billets d’avion (nommée : taxe Chirac, par certains). C’était pour l’objectif de contre la pauvreté et l’amélioration de la santé en Afrique.
Il ne faut pas non plus, à oublier l’ancien patron de Microsoft, Bill Gates et les ex-présidents des USA, comme Bill Clinton et Jimmy Carter, ils soutenaient des projets en Afrique soit par des dons colossaux, soit par les actions de leurs fondations.
Il y a bien sûr beaucoup d’autres, des personnalités mondialement reconnues de notre époque. Toujours pour le but de surmonter la survie des africains pauvres.
Parmi toutes ces recettes, la Libye sous le règne de Kadhafi, avait aussi des projets assez pragmatiques pour l’Afrique. Par exemple, ce qu’on l’appelle le programme vert de Kadhafi en Afrique. Le programme vert est initial par la Libye en faveur de certains pays africains.
Une partie de ce programme vert libyen était d’envisager à financer 50 millions dollars pour développer l’agriculture au Mali, au delà de ceci, il s’agit un projet en collaboration de plusieurs partenaires: la Libye, le Mali et la Chine.
Selon des informations friables, c’était un grand projet, conçu à la fin d’octobre 2008, entré en application en 2009, pour l’objet de cultiver près du fleuve Niger 100000 hectares de riziers. Cette base agricole se situe à 380 km au nord de la capitale malienne.
L’année 2009. Ce projet était vigoureusement mis en pratique. Pour les démarches, on décide à d’abord construire un canal de 40 kilomètres lequel guide l’eau de Niger à arroser les rizières. Ce canal pourrait transporter des flux de conception 210 mètres cubes par seconde. Il y a fixé également un projet routier, première étape était aussi 40 kilomètres. Dès lors, c’est des entreprises chinoises qui entreprenaient les constructions.
Dans le but de bien élaborer le projet, des experts et spécialistes chinois au domaine d’agriculture, étaient venus sur place, pour assurer la transmission de la technologie agricole. Ainsi qu’ils aidaient les maliens, en premier lieu, un essai sur les 28 hectares de rizière, en y plantant de plusieurs sortes de riz hybride, comme une démonstration. La même année, la récolte la plus élevée était celle de 9 tonnes par hectare.
En mai 2009, à l’ouverture de ce programme vert, Kadhafi a fait symboliquement un don de 10 tracteurs aux agriculteurs maliens. Autrement, ce projet a visé la possibilité de créer 10000 emplois au Mali.
La cible du projet était très claire: pour résoudre le problème du manque d’alimentation. Le plus important, c’est d’améliorer l’agriculture malienne puis d’atteindre autosuffisance de la céréale dont l’Afrique a besoin.
Ce projet collaboratif au Mali, prévu une durée de plusieurs années pour le réaliser complètement. Comme cela, beaucoup de travaux sont encore en chantier avant la guerre en Libye, depuis la chute du régime de Kadhafi, on entend plus en parler.
Alors, actuellement, le projet agricole au Mali et le programme vert en Afrique sont peut-être aussi, comme la Libye d’aujourd’hui, un peu (ou beaucoup) naufragé… ?