C’était le 24 Août à l’an 79 (selon l’avis de nombreux spécialistes), Pompéi, est devenu une ruine. L’éruption de Vésuve à suivre un fort tremblement de terre, la catastrophe était survenue d’une manière fatidique. Alors, ce désastre avait entraîné la destruction de la ville Pompéi; soudainement, la vie du public et privé des habitants était enterrée sous une énorme masse de cendre. Et au moment du sinistre, le feu et le coulis volcanique avaient brûlé beaucoup de vivants.… aujourd’hui, quand on visite cette ruine, on remarque que, le Pompéi, au temps jadis, était une cité très prospère dont le niveau de vie était assez élevé, et la société était très fleurissante.
Cette cité s’était réjouie dans sa prospérité, mais malheureusement, elle n’ait pu s’échapper la frappe d’un destin, un destin au nom de séisme naturel. Dès lors, le Pompéi s’endormait dans un coin, au bord de la Méditerranée, en Italie.
Au-delà, à l’autre bout de la Méditerranée, presque tout droit vers le sud de cette ruine italienne, se trouve Syrte, une ville libyenne. Pompéi et Syrte, se positionnent toutes les deux à la proximité d’une même ligne de la longitude, (car Pompéi 14,29 E, Syrte 16,35 E ) Aujourd’hui, Syrte est en train de ruinée elle aussi, bien sûr à une autre manière, non à cause de la catastrophe naturelle, mais par le séisme humain.
Oui par la catastrophe humaine. Parce qu’en ce moment même, à Syrte, les combats sont de plus en plus violents, les morts sont de plus en plus nombreux, le sang coule de plus en plus rapide, la destruction est de plus en plus massive… Bref, Syrte est dévastée: durant quatre semaines, une petite ville de 76788 habitants (statistique sur Wikipédia) subit quotidiennement, l’explosion des missiles, des bombes, est ciblée par des obus et des balles, elle gémisse alors jour et nuit dans le feu et le sang.
Sans doute que, la ville Syrte deviendra une ruine, par l’acharnement de la catastrophe humaine. Inutile de mentionner encore, c’est juste sous les bombes de l’OTAN, sous les armes lourdes de nouvelle force de CNT, aussi par le feu ardent de la résistance des pro-kadhafis, que la cité Syrte va tomber, va ruiner…
Ainsi que la ville Syrte est en train de transformer un autre Pompéi, une nouvelle Ruine sera née. Nous pourrions bientôt la voir, cette nouvelle Ruine, s’installe à l’autre rivage de la Méditerranée, sur le continent africain, en Libye!
La nouvelle Ruine va être fabriquée, mais on ne sait nullement :
Y-t-il encore combien de constructions sans endommagées ?
Y-t-il encore combiens de gens résistés mais survécus ?
Y-t-il combiens d’innocents sans être blessés ?
Y-t-il combien de victimes étaient enterrées ?
Y-t-il combien, sur lieu, des crimes innominés ?
Y-t-il combien de sang des innocents à renverser?
Il y a des journalistes qui nous donnent de temps à autre des informations:
Les rues jonchées de carcasses de voitures, des balles jetées par terre.
A l’hôpital de la ville, une odeur nauséabonde se dégage de la morgue où gisant sept cadavres en décomposition.
Des cadavres enveloppés de sac plastique, une nuée noire de mouches tourne autour…On doit avoir du courage pour lire toutes ces lignes ci-dessus.
Regardez tout droit cette ville, la Syrte, partout, ruinés… Ruiner, parce que tout est détruit… tout est détruit, sauf les ruines qui restent, dans le silence immense.
Ah, une Nouvelle Ruine, se dresse entre la flamme pétrolière et le bain de sang, en témoignage comment était cette guerre, barbare et ravagée ! Même, elle est peut-être encore plus cruelle que la Croisade !
Quel triste pesage d’une guerre humanitaire! Une ruine créée, purement par des armes, quelle honte de la nouvelle humanité ?