Cela se passe dans l’une des capitales du monde, à Manille !
Cela se passe sous les yeux du monde entier au travers d’une diffusion télévisée directe !
Cela se passe d’une manière atroce, terrifiante, effroyable, surtout avec beaucoup d’incompréhensions !
Ce drame est donc finalement noté sur le calendrier du 23 Août 2010, au centre ville de Manille aux philippines :
Une opération d’une prise d’otages s’est terminée par un bain de sang, causée 10 morts et 5 blessés.
Qui sont-ils ces boucliers humains?Le 23 Août, c’est le dernier jour de leur voyage, pour ces 21 touristes chinois hongkongais, ils étaient heureux participants dans un groupe de voyage pour un court tour de 4 jours aux philippines. Selon leur programme de voyage, ils doivent prendre le vol au soir du même jour (23 Août) pour le retour à Hong Kong. Tout se passe normalement, à peu près 9h du matin, (heure locale) après une visite d’un parc au cœur de Manille, ils ont remonté dans le bus où ils sont pris en otage par un seul homme armé, un certain Roland Mendoza !
Qui sont –ils, ces chinois hongkongais ? Ce sont des simples touristes. D’après les sites web d’Hong Kong : Dans le bus détourné, où se trouvent 21 malheureux touristes hongkongais, les âges différents de 4 à 72 ans. Parmi eux, la plupart est en famille, il y a également 5 très jeunes touristes : une fillette de 4ans, un gamin de 10 ans, deux autres qui ont 12ans et une jeune fille de 16 ans.
Les touristes joyeux sont devenus soudaine victimes ou témoignages d’un tel cauchemar !
Qui est-il ce preneur d’otagesCe preneur d'otages, Roland Mendoza était un ancien policier licencié dont son acte de prise en otage des touristes chinois, est purement pour arranger sa situation personnelle, c'est-à-dire pour négocier sa place perdue depuis quelques mois.
Où était sa place ? Sa place était dans le service de la police, il était connu parmi les meilleurs policiers. Et il croyait toujours que sa démission était trop injuste et alors, il a tenu ce bus et ces touristes chinois hongkongais comme bouclier humains pour négocier, soit disant la faute commise par son gouvernement sur sa situation professionnelle, il voudrait ainsi à forcer le gouvernement pour remettre en ordre sa réputation et le dommage financier causé.
Quelle absurdité ! Mais c’est la réalité en action, sous le regard du monde entier !
Pourquoi la négociation a-elle échoué ?Depuis 9 h à 15 h, c’est le temps de négociation ! La police avait donc largement de temps pour entamer une négociation sérieuse avec Roland Mendoza, cet homme lourdement armé. Si l’on croit aux sites d’informations d’Hong Kong: pendant plus de 10 heures, durant ce temps, la négociation entre le preneur d’otages et l’administration du gouvernement philippin se déroulent par 2 intermédiaires spécialisés.Que se passe- t-il, pendant ce temps anxieux !
Pendant ce temps, 6 otages ont été délivrés dont 3 enfants et la mère des deux enfants parmi les trois, et 2 personnes âgées.
Pendant ce temps, le bus en otage a reçu des carburants pour l’air conditionné soit fonctionné normalement, et de la nourriture.
Pendant ce temps, l’administration du gouvernement a opposé la proposition d’un des 2 négociateurs ; en refusant directement l’exigence du preneur d’otages. En lui a répondu par une lettre qu’il n’y a pas question de céder son "chantage" et de récupérer son métier professionnel dans la police.
Surtout, pendant ce temps, la police a arrêté le frère du preneur d’otage, au contraire, lequel avait rendu le service au moment de négociation !
On ne comprend pas bien, pourquoi le sauvetage, se déroule sous les yeux du monde entier, d’une manière assez bizarre ?
Tout semble à un peu absurde et s’agissant de zone d’ombre. Mais quoi qu’il en soit, la réponse aussi directe de la part du gouvernement philippin au preneur de prise en otage, est assez rare aux règles de négociation. On peut y croire, cette stratégie de négociation était très male menée.
Les actions à la suite étaient aussi incompréhensibles à nos yeux :
Après des heures de négociation sans succès, les policiers essaient de casser les vitres du bus; mais le geste était également impuissant voire maladroit.Les forces spéciales commencent à attaquer, d’abord par la porte devant du bus. Que nous avons vu (par l’écran), un policier tenait un marteau ordinaire pour frapper la porte principale, le résultat : on y voit laisser un petit trou et alors il a retourné vers arrière du bus et en frappant de nouveau...
A ce moment, on entend le bruit des fusils, on peut se demander: comment peut – on prendre une telle tactique pour détourner une telle situation?
Après le preneur d’otages a délivré 6 personnes, ils restent encore 16 otages (y compris un guide local) dans le bus. Au final, le preneur d'otages a été tué par la force spéciale philippine. Mais parmi les 16 boucliers humains, une opération cause 10 morts et 5 blessés, c’est sans doute, un grand échec !
La Chine a eu beaucoup de mal pendant ce temps. Malgré la bonne volonté de la part de Chine : "Nous voulons que tout soit fait pour garantir la sécurité et l'intégrité de nos ressortissants", mais enfin, on ne pourrait également pas éviter cette tragédie : 10 ont été tués, 5 blessés.
Lorsqu’on a suivi cette action de l’opération (par TV), on sent le froid dans le dos, le monde entier découvert en même temps cet acte terrifiant, effroyable et incompréhensible à la fois!
On nous laisse des questions et réflexions…Nous, vivons sur la terre de l’Europe, et nous avons peut-être plus d’assurances que les autres. Mais la vraie assurance n’est –ce pas, celle de la sécurité sur terre et celle la sérénité dans le cœur, et quand, la sécurité et la sérénité puissent –elles devenir comme la chaleur du soleil, partageable pour tous et toutes ?