Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.
La guerre des roses languies s'étant fanée au fond du pot, nous n'avons plus comme épines à gratter le papier que les sanglots longs des longs couteaux des droites ; bien que maladroites, ces chamailleries fratricides font le fumier juteux de notre actualité. Ainsi le peu joyeux Jouyet cafte à la maîtresse des mondes journalistiques le corbeau à-freux qui croâsse autour du château dans les tours duquel il rêve de faire son nid de vautour. C'est que le vizir Fillon l'avait pris sous son aile, ce convive du "siècle" en le propulsant sous-ministre du cacalife Sarko. On peut dire que c'est le "merci patron" dans le registre de l'amour vache. Quant à notre mimolette pas raffinée qui a nommé ce commis voyageur libéral à la plus haute marche des groupies de l'Elysée, qu'il bafouille maintenant des euh... (avant d'en recevoir) pour cette énième baffe qu'il se prend dans la figure comme les pieds dans le tapis.
Comme au théâtre, tous ces soubresauts de sots annoncent la fin du cinquième acte de la république monarchique. Toutes ces chicanes de crânes énarquisés n'arrivent même pas à la cheville des escarmouches éphèmères des cours de récréation. Quand le secondes participent de la construction de la personnalité, les premières suent les prémisses fétides de la mort collective.
A propos d'école, et comme nous avons grandi, nous autres citoyens sans dents, quand donc allons nous entrer en sixième ?
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