Contre le goudron et les routes inutiles : stop à la répression en guise de réponse

« Quand une opposition commence à déranger, les autorités viennent au secours des promoteurs routiers pour qu'ils puissent poursuivre leurs sales besognes. Les opposants aux GCO à Strasbourg l'ont connu, d'autres avant eux, plein soutien à nos camarades de @LDessucs #StopRepression » 
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"Quand une opposition commence à déranger, les autorités viennent au secours des promoteurs routiers pour qu'ils puissent poursuivre leurs sales besognes." introduit La Déroute des Routes sur sa publication qui reprend celle du collectif la lutte des sucs qui se bat pour préserver des espaces boisés face au projet de contournement de la RN88 en Haute-Loire.

La coalition reprend l'exemple du GCO et sa lutte sur le terrain dans laquelle j'étais actif et continue à l'être. On parle de la bataille contre le Contournement ouest de Strasbourg né en 1973. De cette autoroute imposée par l'Etat le 30 août 2018 et offerte à Vinci comme lot de consolation de l'abandon quelques mois auparavant du projet d'aéroport de Notre-Dame-des-Landes (janvier 2018). Une confrontation sur le terrain qui a commencé pour les antis GCO en 2016 avec les premiers travaux préparatoire. J'y étais. Une lutte sur le terrain qui est monté créché do jusqu'au premières convocations en gendarmerie. J'y été deux fois pour ma part et puis elles ont commencé à pleuvoir à l'automne 2017. Une répression qui est monté d'un cran avec les premières condamnations au printemps 2018...

Souvenez-vous de cette compagnie de gendarmes mobiles maintenue durant plusieurs mois pour protéger le démarrage du chantier à l'automne 2018, après l'évacuation violente de la ZAD le 10 septembre.

Souvenez-vous de ces dizaines de gardes à vue, de la vingtaine de camarades, militant·es et zadistes poursuivies en justice. D'ailleurs, l'un d'eux comparaissait il y a encore pas si longtemps de ça pour une action survenue en mars 2021.

À la répression sur le terrain s'accompagne celle de la justice. Cela a été le cas à Notre-Dame-des-Landes, à Sivens ou encore à Bure

« Ce qu'ils n'ont pas compris, c'est quel que soit le lieu, des femmes et des hommes résistent et restent DE-BOUE ! » ponctue La Déroute des Routes avant de témoigner leur solidarité avec les co-camarades de La lutte des sucs à qui, les électrons libres antis GCO témoignent nous aussi toute notre amitié et soutien ! 

... aux Camille ! ..............