
Agrandissement : Illustration 1

Il y a des réalités qui deviennent de plus en plus difficiles à maintenir sans de vrais changements. Aujourd'hui, le monde "capitalo-libéral" est attaqué de toutes parts, révélé par une situation post-covid qui a aggravé les inégalités entre les pauvres et les riches... surtout les très riches. À cette situation sociale, la crise écologique doit contraindre nos décideurs politiques à instaurer une véritable politique écologique de rupture. Les catastrophes climatiques des 2 ou 3 dernières années ont sensibilisé une partie du public aux conséquences de notre modèle économique sur notre environnement. Si nous n'avons pas de changement radical, nous mourrons.
Une réalité sociale et écologique en opposition frontale avec le monde libéral oblige à une radicalité.
Le constat social et écologique d'un monde qui va mal contrecarre les ambitions capitalistes d'un monde libéral qui en veut toujours plus, sans se soucier des conséquences. Or, les conséquences existent et nous devons agir.
Cette réalité accule la caste dominante. Elle doit trouver une façon d'intégrer l'écologie dans son logiciel pour continuer à fabriquer toujours plus d'argent (les dividendes) sans que cela devienne contraignant pour elle. Dans l'intervalle, sous la pression, elle tente de rendre les environnementalistes impopulaires, voire dangereux.
Ne pas tomber dans le piège !
Aujourd'hui, avant la chute, ils utilisent des mots forts en déformant leur signification originale et en ajoutant l'éco comme préfixe. Ainsi, nous devons des écoterroristes ou écototalitaires. Ne tombez pas dans ce piège qu'ils vous tendent. La radicalité est nécessaire si nous voulons donner une chance à notre mère Terre de continuer à nous supporter. Sans de vrais changements, nous passerons de 8 milliards d'humains à rien ! Pensez-y !

Agrandissement : Illustration 2
