Au centre ville de la ville centre de métropole, les établissements à proximité du tramway ont installé des pieds et zig zag en métal contre les vitrines, sur leur partie privée, au bord de l'espace public.
Si le plan local d'urbanisme interdisait ces éléments, il serait impossible de les installer, ce qui n'est pas le cas ici.
Cette ville rejoint donc les autres inhospitalières pour les personnes sans logement comme Lyon, Nancy, Dijon, Rennes, Royan, Toulouse, Montpellier, Angoulême ou Paris (http://www.robinsdesvilles.org/ https://blogs.mediapart.fr/pierre-pontecaille/blog/280120/le-mobilier-anti-sdf-paris-l-amenagement-urbain-au-service-de-l-exclusion)
Des entreprises spécialisées dans ce nouveau marché de mobilier urbain gagnent des fortunes en participant à l'installation de cette architecture hostile qui marginalise les personnes précarisées.
Nous payons dans nos taxes et impôts les dépenses liées à ces installations qui repoussent plus loin la pauvreté plutôt que de participer à remédier à l'indigence...