A trois jours du premier tour des élections municipales, nous jeunesse dunkerquoise, saint-poloise, fort-mardyckoise et mardyckoise disons notre enthousiasme et espoir en la personne de Patrice Vergriete ! Un vent nouveau, porteur et apporteur d'un souffle moderne, tourbillonne à Dunkerque où sa jeunesse a longtemps, trop longtemps, été dédaignée.
La jeunesse, cet espèce de galimatias inexpliqué – sans doute parce qu'inexplicable – dont usent et abusent ceux qui disent s'en pré-occuper et occuper...
Jeunesse qu'unanimement on dit être l'Avenir et qui est, en revanche et réellement, continuellement précarisée : rsa, contrats d'avenir, ou plutôt d'à venir, etc., quelle vision et quelle chance ? (rires, évidemment!)
Jeunesse talentueuse, diplômée, courageuse qui vit, dans l'air du temps, la « mondialisation », sa violence ; qui ne quémande aucunement, mais n'attend qu'on ne lui crée le terreau des possibilités d'exprimer son génie, son audace d'entreprendre, prendre son « avenir » en main !
Jeunesse à qui l'on reproche dédaigneusement et commodément un défaut d'expérience au moment où, systématiquement, lui est fermée toutes les possibilités d'en acquérir ! Comment sérieusement reprocher une quelconque inexpérience à quelqu'un dont, culturellement, on refuse une confiance ?
Aussi, la jeunesse dunkerquoise a des raisons légitime et /parce que programmatique de renouer avec l'espoir du concret, une fois que sera élu maire, le 30 mars au soir, Patrice Vergriete !
Parce qu'aussi, il faut un récit qui raconte l'Histoire qui se réécrit à Dunkerque, nous sa jeunesse le commençons par une sorte de « mythologie politique » fondatrice :
Patrice Vergriete est Sisyphe, car un monstre de travail qui ne rechigne guère devant l'effort lorsqu'il s'agit d'œuvrer pour l'intérêt général. Un Sisyphe heureux, celui de Camus.
Patrice Vergriete est Prométhée, car celui qui s'est emparé du feu sacré de la Politique en se mettant au dessus de la mêlée, de tous parti, pour rassembler autour de lui, tous les républicains et humanistes soucieux du devenir prospère de leur territoire.
Patrice Vergriete est Héraclès, car celui qui a instigué un mouvement avec lequel il a écumé et battu le pavé d'une façon remarquablement inédite, tel un forgeron hors pair. Oui, il faut battre le pavé pendant qu'il est encore chaud ; après, il est trop tard, même pour un sortant menaçant !
Patrice Vergriete est Ulysse, car, intelligent certes, celui qui incarne le stratège meneur vers la conquête de causes jugées désespérées, et qui réussit.
Enfin, Patrice Vergriete est Jean Bart, car celui qui se transcendera, se démènera, en période de vaches maigres, pour ramener attractivité, pour ramener des emplois, pour ramener du développement, pour surtout ramener la fierté dans sa terre, dans son territoire ! Chapeau bas le corsaire !