Le 20 mars 2016, le chef de l’état sortant, Denis Sassou Nguesso, s’il est candidat, aura comme challengers la quasi totalité des leaders de l’opposition, notamment celle dite « radicale », ceux-là qui s’étaient violemment opposés au référendum du 25 octobre 2015.
Sauf que, à mesure que le pays avance vers le scrutin du 20 mars, la tension ne cesse de monter dans le milieu politique, et l’inquiétude se lit au sein de la population. Pour cause, un vent de complots et des menaces de coups d’état se font de plus en plus pressants, notamment depuis l’entrée en scène de l’ancien chef d’état-major de l’ex-président Pascal Lissouba, le général Jean Marie Michel Mokoko, dont les intentions de prise de pouvoir par la force sont connues de lo

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De plus, si les informations rapportées dans les « fiches » dont notre rédaction a eu accès et que nous publions dans cet article sont avérées, il y a véritablement lieu de s’inquiéter pour la démocratie et la stabilité dans notre pays.