INVITÉ RTL - La tête de liste Les républicains aux élections régionales en Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées a confiance en ses chances de victoire.
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La situation des migrants est "une question européenne", selon Dominique Reynié Crédit Image : Lucas Colin / RTL.fr Crédits Média : Jérôme Florin | Durée :09:59| Date :03/08/2015
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par Jérôme Florin , Valentin Chatelier publié le 03/08/2015 à 10:32
"C'est un engagement sincère, profond, qui est déterminé par la gravité de la situation", a résumé Dominique Reynié lundi 3 août sur RTL. Le politologue et professeur à Sciences-Po est candidat tête de liste pour les élections régionales dans la région Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées.
Une candidature qui lui a valu beaucoup de critiques, certains lui reprochant notamment d'arriver de Paris. "C'est ma région", a-t-il fait remarquer, expliquant avoir été reçu par les maires de Tarbes, de Sète ou encore de Toulouse. "On peut multiplier le nombre d'élus qui me soutiennent", a lancé Dominique Reynié, estimant ne rencontrer "que des soutiens", être "bien reçu" et "bien compris".
Un politologue passé à l'action politique
"Je suis passé du rôle de commentateur à celui d'acteur", a expliqué la tête de liste. Un candidat qui se targue d'être "le seul tête de liste à avoir un métier". "Je ne peux pas vivre sur une rente ou sur une épargne", a résumé celui qui est professeur à Sciences-Po.
Dominique Reynié est confiant et se voit gagner la région. "Aujourd'hui si vous avez suivi l'actualité de la région on dit que la gauche risque une défaite", s'est-il félicité. "Je gagnerai la région comme je l'avais promis", a lancé Dominique Reynié, sûr de lui.
Je n'ai pas l'intention de faire de la politique politicienne
"Je n'ai pas l'intention de faire de la politique politicienne", a résumé le candidat Les Républicains, ne souhaitant pas se prononcer pour un candidat concernant la primaire pour les élections présidentielles. Une question qui ne l'intéresse "absolument pas". Le candidat souhaite en effet se concentrer sur sa région, dans laquelle "il y a 12,5% de chômage".