Sais tu comme le monde est beau lorsque l’on n’a pas, le cerveau et le cœur secs et durs?
J’ai vue et vécue, avec les yeux d’un enfant.
Je m’émerveille encore ce matin, de la visite inattendue d’un oiseau curieux m’observant de son œil rond et roux, au travers de ma fenêtre, du 5e étage de la rue de Grenelle. Je l’ai vue, libre, s’envoler pour, se poser un peu plus loin, sur le rebord de la fenêtre, de ma voisine du 160. La dame qui gentiment m’adresse un petit sourire lorsque nous ouvrons nos fenêtres le matin….Ma vie c’est réduite à peu de chose, mais Sais tu, comme le monde est beau, lorsque l’on n’a pas , le cerveau et le cœur secs et durs?
J’ai pleuré aujourd’hui, lorsque j’ai reçue Ma réclamation adressée au Défenseur des droits / Dossier 20-011322......Ils ne vont pas m’aider. C’était pourtant bien un SOS...Je les avais supplié. Je suis donc, invité (drôle d’invitation) à adressé ma plainte (qui a déjà été refusé au commissariat du dixième arrondissement de Paris) directement auprès du procureur de la République du tribunal judiciaire du lieu de ma résidence. Le formulaire en ligne est bloqué. Je n'obtiens pas de réponse non plus de la demande d’aide formulé à un ténor du barreau. Un autre formulaire en ligne pour joindre la garde des sceaux m’est inaccessible, bloqué par les policiers, avec qui je couche, danse pleurs m’ empoisonne me fane, m’engloutis tous les jours, toutes les nuits depuis 17 ans.
Si mon fils n’avait pas été là , s’il ne m’avait pas retenue de son regard fort et doux, Je me serais envolé, dans la fraîcheur de cette journée du 12 juin.vers cet oiseau curieux qui m’appelait ce matin, de son œil rond, de son plumage bleu, et de son absolue Liberté.