Alors que la situation en Grèce a fait trembler l’Europe, jusqu’aux statues du grand colisée d’Athènes, il semblerait que les choses commencent à reprendre forme, avec un plan d’aide financière accordé par l’Europe au pays des philosophes.
Période de disette et peuple qui crie
Alors que le pays a connu une période particulièrement sombre, relayée au niveau mondial par les réseaux sociaux et les nombreux reportages proposés par les différentes émissions de télévision de la planète, la Grèce a été un des pays d’Europe les plus touchés par la crise économique mondiale. En effet, souffrant d’un déséquilibre interne entre la volonté du peuple et les aspirations du gouvernement, le pays n’a réussi que difficilement à ne pas sombrer dans un océan de problèmes internes plus lourds à assumer que n’importe quel conflit international. En effet, les tensions ont été si fortes, que toutes les lumières de la planète se sont tournées vers le berceau de la démocratie. Aujourd’hui, les craintes ont été remplacées par l’espoir, et la détresse prend peu à peu des couleurs de courage.
L’appétit vient en mangeant
Le matin du 13 Mars, le Premier Ministre grec, Alexis Tsipras, a rencontré le président de la Commission Européenne, Jean-Claude Juncker, afin que le peuple grec s’entame à une période d’efforts acharnés pour répondre aux demandes de ses créanciers (Fonds monétaire international, Banque centrale européenne, Commission européenne et Mécanisme européen de stabilité).
Ainsi, des objectifs ont été mis en place, pour montrer l’implication du peuple et son envie de rehausser sa situation interne, pour retrouver une gloire perdue et ternie. Dans le cas de résultats positifs, ou à défaut encourageants, une deuxième aide sera accordée à la Grèce, plus conséquente, d’environ 7 milliards d’euros.
Bien que les tensions ne soient pas toutes évanouies, la Grèce connait enfin depuis ce début de mois de Mars de réelles promesses de regain de force, et d’une meilleure image au niveau européen, avec notamment des efforts faits du côté grec, comme du côté des investisseurs, désireux de sortir le peuple grec d’une passe économique alarmante. Une affaire à suivre de près, où compromis et accords pluripartites seront à l’honneur.