Voler les textes des précaires qui sont publiés sur nos blogs et les publier sans l'autorisation de celles et ceux qui les ont écrits, c'est immonde.
C'est ce qu'à fait pourtant cette revue, Précarité magazine, et le mec ericducoing75-1700942521716 qui a l'air de s'en occuper tout seul, apparemment, sans aucun scrupule ni aucune idée de ce que ça peut faire, en plus de nos précarités, de voler nos mots pour sa revue en copié collé. Et elle vole des articles entiers qui sont sur médiapart!
Le mec qui s'occupe de ce faux magazine, il n'écrit pas une seule ligne, non, il copie colle, des articles entiers de médiapart, il colle les articles des blogs privés.
Aucun respect pour les précaires, c'est vraiment minable. Et ça ose s'appeler "Précarité Magazine" ? Quel magazine?!
C'est plutôt "Voleur de texte magazine" !
"Salut, si tu m'envoies une adresse mail, je pourrais t'envoyer Précarité Magazine où j'ai repris plusieurs de tes textes. Merci"
C'est sidérant, ça m'a arraché les tripes, tellement c'est choquant!
Je les destine pas à une revue mes textes, je les mettais ici en confiance, sur le seul blog de Médiapart et c'est à moi de décider ce que j'en fais de mes mots, d'où ce mec se permet de se les approprier sans mon consentement?!
Et il y a pas que mes textes, il pioche allègrement dans les textes des autres, est ce qu'il demande l'autorisation?
Non, il avertit juste, comme si ça lui appartenait, lui qui n'écrit pas une ligne!
Il chie sur les précaires en faisant ça, c'est à gerber! Je décolère pas!
Perso ça me poignarde gravement, mes mots, c'est tout ce que j'ai et d'apprendre qu'ils sont utilisés pour cette revue sans m^me demander mon autorisation, ça me sidère.
Le magazine n'est est pas un, ce sont des copiés collé des articles entiers de certains d'entre nous, et il y a fort à parier qu'il n'a jamais demandé d'autorisation, puisqu'il m'en avertit simplement, comme si ça allait de soi.
Je suis profondément dégoutée, je n'écrirai plus un seul mot sur ce blog puisqu'ici on est à la merci du moindre cornak qui passe et s'approprie ce que vous dites.
Je ne vais pas renouvelé mon abonnement, payer pour se faire voler le peu qu'on écrit, c'est vraiment trop.