Chers déconneurs intimes du mercredi, chers martyrs aimés,
Pour l'instant, je fuis les larmes en écartant de mon regard vos gribouillis familiers devenus sacrés.
Comme j'aurais aimé qu'ils ne demeurent que familiers.
Mais, ces deux excités en combinaison noire vous ont érigés en martyrs mondiaux, obligeant même, ceux qui vous insultaient, hier, à vous honorer et à se plier au "rassemblement républicain".
Comme j'aimerais que le paradis existe, vous voir vous poiler et savourer.
Un combat commence pour ceux qui vous aiment, chasser l'écoeurante bondieuserie ambiante et l'utilisation de votre sang pour nourrir la lessiveuse médiatico-politique. Pour cela rien de plus simple, rafraîchissons leur mémoire en diffusant vos dessins.
Même absents, on ne pourra jamais parler à votre place.