Dans la nuit du 7 au 8 février des groupes d’extrême droite appartenant aux milieux néo-nazis ont maculé l’Université de Strasbourg d’inscriptions racistes et xénophobes.
Leur haine s’en est prise à une bibliothèque universitaire, symbole du savoir et du partage de la connaissance.
L’Université de Strasbourg, dont l’histoire a été nourrie par l’Humanisme et les valeurs de résistance, n’accepte pas que se propagent en son sein les idéologies de l’exclusion et du rejet de l’autre.
Le racisme, l’islamophobie et l’antisémitisme, tout comme le sexisme
et l’homophobie, n’y ont pas leur place.
L'université ne cédera pas devant la haine