Violence policière contre un lycéen devant le lycée Bergson à Paris

B. Cazeneuve n'a pas condamné l'agression d'un lycéen par des policiers. Il s'est juste dit choqué parce que "cela ne correspond pas à l'idée qu'une immense majorité de policiers se font de leur mission".
Cela montre qu'il ne veut pas condamner les inévitables conséquences des consignes d'extrême fermeté qu'il a donné à ses services pour réprimer le mouvement social. Ce n'est pas un hasard si le même type de violences sont constatées simultanément pendant les manifestations à Nantes, à Marseille, à Strasbourg, à Tolbiac...
Les forces de l'ordre seraient mieux utilisées à protéger les citoyens des attentats qu'à casser des lycéens ou des étudiants.
B. Cazeneuve ne correspond pas à l'idée qu'une immense majorité de citoyens se font de la mission d'un ministre de l'intérieur. Il doit démissionner.