Il ne serait "rien arrivé" faute de témoignages et je ne serais qu'un affabulateur. Sauf que le 8 février sous les mauvais traitements, j'ai appelé au secours mon avocat (sur son portable) il était 21h50 et j'avais été amené vers 18 heures! L'appel a même soigneusement été effacé du journal de mon téléphone, probablement pendant que je dormais. Seulement il y a la facturation détaillée et mon avocat m'a confirmé par écrit que je l'avais bien appelé. Si c'était tout...la société d'ambulances qui m'a transporté sur demande du 15 prétend qu'elle a bien été appelée mais que l'intervention a été annulée...
Ma vie se résume désormais entre lit et fauteuil, ou presque...mon médecin-traitant m'a dit que j'avais eu beaucoup de chance, que normalement je devrais être en fauteuil roulant. Qu'est-ce qu'il savait vu que le compte-rendu de l'hosto ne fait mention que d'un simple lumbago? Chance ou "attentat" manqué? J'ai vu un neurochirurgien, veut pas toucher à ça il a dit.
Une procédure est en cours depuis un an au Tribunal administratif, j'ai demandé la mise au rôle, mais l'encombrement de celui-ci...en ce moment on traite les affaires de 2012 monsieur!
Selon vous, qui est le Président de l'Hôpital? monsieur le Maire-Président de la Communauté...et grand pote de l'autre!
Tout comme il l'est d'un office HLM où des choses pas nettes...
Que des braves gens en somme...
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Deux gendarmes sont arrivés très vite (c'est vrai que ce n'est pas loin!) et la responsable a alors annoncé, me désignant, que j'avais les numéros de téléphone de tout les résidents et même des enfants!
Mon Dieu, mon Dieu! Mais quel crime!!! Pardonnez-moi mais j'en rigole!!! La responsable croyait-elle m'effrayer en faisant débarquer des uniformes pour ce motif???
Alors, la résidence est donc pire qu'une prison. On n'a même pas le droit de téléphoner à des gens qui sont dans l'annuaire sans autorisation de la responsable???
Je voulais seulement rassembler les résidents au salon pour une information, mais voilà cela dérange la responsable et son beau-frère (le promoteur): il ne faut pas que je puisse mettre les résidents au courant de leurs DELITS!!! Ceci c'était pour votre information sur le contexte.
Maintenant, le gendarme H..... (matricule xxxxxx) auquel je tendais mes poignets en lui demandant de m'emmener pour le motif précité m'a répondu:
" Si on vous emmène, vous allez voir ce qui va vous arriver" Mais qu'est-ce que c'est donc que ce genre de pression???
En sus, me demandant mon âge (bientôt 67 ans) il ajoute: "Eh bien monsieur vous vous conduisez comme un gamin!"
Permettez-moi, Commandant, mais je n'ai de leçon a recevoir de PERSONNE.
Je voudrais préciser que j'ai annoncé ce même jour au gendarme H.... que le sieur P.... ( le promoteur et donc beau-frère de la responsable, ah oui tout se fait en famille!) accompagné de Mme V..., Directrice d'exploitation, m'avait proposé un petit arrangement monétaire pour que je me taise et que je quitte la résidence. Le gendarme m'a rétorqué: "Eh bien vous auriez dû le prendre et vous casser"
Drôle de conseil pour un représentant des forces de l'ordre qui voudrait que je me rende complice de comportements que je n'hésiterai pas à qualifier de mafieux.
Par ailleurs, en fin de conversation, prenant des anti-douleurs très très puissants, j'en avais la bouche sèche et n'arrivais presque plus à m'exprimer, j'ai demandé un verre d'eau (du robinet) qui me fut refusé! Le gendarme H.... me donnait ensuite l'ordre de renter chez moi, à quoi j'ai répondu que j'étais dans les parties communes de l'immeuble et que conséquemment j'étais chez moi!
La responsable hurla alors: "Non, ici c'est chez moi!!!" J'ai alors regagné mon appartement. Pour terminer je passai un coup de fil sur le n° d'astreinte pour signaler que le couloir du 2ème était sale, et c'est le gendarme qui décrocha...
J'en tire tous les enseignements que je veux et vous laisse libre de les interpréter selon votre conscience professionnelle.
Evidemment je ne reçus pas de réponse, mais j'appris un peu plus tard que le gendarme concerné avait "obtenu" sa mutation!
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