Chris Yapi dans le cadre de son enquête sur la supposée attaque de la caserne militaire d’Abobo-Anyama, vous a présenté, dans la première partie, l’ONG Promediation ; une ONG de renommée internationale, qui a produit un rapport critiquable sur ladite attaque. Dans la première partie de mon enquête, je vous ai exposé les faits tels que présentés par Promediation ainsi que les manquements graves apparents.
Dans cette seconde et dernière partie, je mettrai à nue les graves failles de l’interprétation abusive de ces faits invérifiés de l’attaque d’Anyama-Abobo par l’ONG Promediation, dans les 7 paragraphes-clés de son analyse.
L’attaque de la caserne militaire a eu lieu dans la nuit du 20 au 21 avril 2021. Le rapport de Promediation est daté du 21 avril 2021, soit le même jour. Contrairement à ce à quoi on se serait attendu, l’ONG Promediation est allée vite en besogne.
En effet, tout rapport sur un évènement d’une telle importance aurait dû faire l’objet d’une enquête sur plusieurs jours, voire des mois. L’investigation aurait dû se faire sur les deux pays incriminés, c’est-à-dire le Liberia et la Côte d’Ivoire, ainsi que sur les individus tués et dont les pièces d’identité ont été retrouvées. Qui nous dit, par exemple, que les photos sur ces documents d’identité, correspondent aux visages des personnes tuées et exposées ? Tout porte à croire que ce rapport, supposément produit par cette ONG, avait été préalablement rédigé par les autorités ivoiriennes et remis à Promediation le jour de l’attaque.
Dans le premier paragraphe, Promediation tranche que les assaillants ne sont pas des djihadistes. En effet, rien ne permet, au regard des éléments avancés, de traiter les personnes tuées de djihadistes, car aucun signe religieux d’extrémisme musulman n’a été révélé. Avoir trouvé une bible et un crucifix sur l’un des assaillants n’est pas non plus suffisant pour permettre à l’ONG Promediation de tirer une telle conclusion. Si l’on s’en tient aux thèses du régime du RHDP, distillées tel du fiel dans le nord du pays, et qui disent qu’au cas où le pouvoir leur échapperait et reviendrait au sud chrétien (« boussoumanis ») ; l’extermination des nordistes musulmans, serait donc ainsi actée. Pour accréditer cette thèse, les auteurs de la mise en scène de cette prétendue attaque, nous ont présenté une bible et un crucifix, comme pièces à conviction, pour bien entériner qu’il s’agit d’une attaque chrétiens contre musulmans, nord contre sud.
Pourtant, chose contradictoire, dans le huitième paragraphe de son analyse, Promediation accuse les individus tués d’avoir voulu commettre une « attaque d’opportunité », en profitant du contexte des précédentes attaques djihadistes en Côte d’Ivoire, notamment celles de Kafolo.
Dans le deuxième paragraphe de son analyse des supposés faits, Promediation affirme que « La nationalité libérienne des assaillants, le mode opératoire ainsi que la cible (Abobo) laissent penser qu’il s’agit plutôt d’un commando agissant à la solde d’un groupe pro-Gbagbo ou pro-Soro, même si des manipulations sont toujours possibles en la matière. » On entre ici dans le pur délire interprétatif.
Quel est le lien avéré entre les personnes tuées, d’une part et les hommes politiques ivoiriens, Laurent Gbagbo et Guillaume Soro d’autre part ? Aucun ! L’évocation de leurs noms, à ce stade de l’analyse, relève donc d’un coup de baguette magique et porte gravement atteinte à leur dignité. C’est même une grave accusation à peine voilée. Laurent Gbagbo et Guillaume Soro ont-ils quelque intérêt à faire attaquer par quatre (4) hommes armés d’une kalachnikov et de trois machettes, un camp militaire peuplé de centaines de soldats surarmés et en alerte maximale ? Le simple effort de se poser cette question aurait pu empêcher l’ONG Promediation de s’engouffrer dans un tel story-telling. À propos du prétendu mode opératoire, quel lien rattache nécessairement les noms et la responsabilité de Laurent Gbagbo et de Guillaume Soro à la moindre personne de ce monde qui possèderait la nationalité libérienne, une kalachnikov ou une machette ? Aucun ! L’ONG Promediation n’est-elle pas ici dans un procès d’intentions et une entreprise de grave diffamation avérée ?
Dans les troisième et quatrième paragraphes de son analyse, Promediation révèle qu’à la mi-avril 2021, il y a eu des rendez-vous de haut niveau entre ses cadres et les autorités ivoiriennes. À l’occasion de ces rencontres, l’ONG aurait donc été sensibilisée par lesdites autorités des risques sécuritaires qui pesaient sur le pays à sa frontière avec le Libéria. On comprend donc que les autorités ivoiriennes ont très vite orienté Promediation vers leurs pistes favorites, à savoir des accusations de coup d’État contre les présidents Laurent Gbagbo et Guillaume Soro, opposants redoutés du pouvoir, qui ne veut surtout pas les voir rentrer en Côte d’Ivoire.
Or, l’ONG Promediation aurait dû ici justement exercer un recul critique. Cette association ignore-t-elle que le régime Ouattara a fait des pieds et des mains pour que le Président Gbagbo soit condamné à la prison à vie à La Haye ? Promediation ignore-t-elle qu’Alassane Ouattara n’a eu de cesse de lancer force mandats d’arrêts internationaux infructueux contre Guillaume Soro ? Le principe juridique de la présomption d’innocence aurait dû retenir les plumes volatiles de cette ONG.
Dans le quatrième paragraphe de son analyse, Promediation fait état de l’alerte sécuritaire générale lancée par l’État-major des armées ivoiriennes, par la voix de son chef, le Général Lassina Doumbia. Comment peut-elle faire mine d’ignorer que dès la mi-avril 2021, les autorités ivoiriennes, par le biais de leur ambassade sise au Libéria, ont été alertées de la dégradation de la situation sécuritaire à l’est du Libéria, donc à l’ouest de la Côte d’Ivoire, suite à une mutinerie pénitentiaire ayant entraîné l’évasion de quelques 90 prisonniers de la prison centrale de Maryland County ? Cette évasion de délinquants et de criminels d’une prison du Libéria serait-elle aussi l’œuvre des hommes d’État ivoiriens ouvertement ciblés par les propos de l’ONG Promediation ?
Dans le cinquième paragraphe de son analyse des supposés faits, l’ONG reconnaît que l’État de Côte d’Ivoire savait, bel et bien, que des menaces sur sa sécurité pouvaient peser en provenance du Libéria. Mais, lorsqu’elle valide l’interprétation de l’acronyme ALCI comme étant celui d’une prétendue Armée de Libération de Côte d’Ivoire, comment réussit-elle à ignorer le fait troublant que les prétendus contrats de mercenariat des personnes tuées et la liste des objets trouvés sur eux sont exactement rédigés par une seule et même main, à savoir possiblement une personne des services sécuritaires ivoiriens ? Et pourquoi, à aucun moment, Promediation ne se demande, si cette ALCI pourrait être un montage des services du régime Ouattara pour justifier leur volonté d’empêcher, justement, Laurent Gbagbo et Guillaume Soro de rentrer dans leur pays ? Pourquoi, à la fin du sixième paragraphe de son analyse, Promediation avoue-t-elle que « Le « contract » retrouvé sur l’un des assaillants semble en particulier un peu trop explicite pour être réel » ?
Dans ce même paragraphe, l’ONG Promediation reconnaît, je cite : « À ce stade, l’implication de soutiens à l’ancien Président Laurent Gbagbo ou de l’ancien Premier ministre Guillaume Soro est évoquée au sein des services ivoiriens et internationaux sans aucun lien concret connu de Promediation pour l’étayer ». Comment peut-on ainsi reconnaître l’innocence de ces deux personnalités d’une main et de l’autre, continuer à les citer et à les incriminer dans la même analyse ?
En effet, alors même que Promediation reconnaît qu’il n’y a aucun lien concret pour étayer une accusation contre Laurent Gbagbo et Guillaume Soro, elle n’hésite pas à continuer à pérorer sur les accusations du régime d’Alassane Ouattara contre ces deux opposants politiques. On apprend, toujours dans le même paragraphe, que « les services ivoiriens semblent plutôt pencher pour un lien avec les milieux pro-Gbagbo », puis, que « d’autres » - mais, on ne sait pas quels autres ! - « évoquent les soutiens de Guillaume Soro, surtout en raison du mode opératoire, de la cible choisie et de sa tendance à vouloir « brûler les étapes » ». Décidément, en quoi posséder une kalachnikov, trois machettes et des papiers libériens sur soi pour attaquer tout un bataillon militaire, serait-il typique de Guillaume Soro ? Choisir d’attaquer un camp militaire, à Abobo, loin de tous les centres du pouvoir, est-il le signe d’une volonté de « brûler les étapes », c’est-à-dire de vouloir parvenir au pouvoir le plus vite possible ? La logique de l’ONG Promediation est carrément abracadabrantesque.
Les choses se compliquent encore plus gravement, quand cette ONG cède au fantasme du complot généralisé, passant des accusations fantaisistes contre Laurent Gbagbo et Guillaume Soro, à une véritable attaque inquisitoire contre toutes les familles de l’opposition ivoirienne : « Les deux pistes demeurent valables comme celle éventuelle d’une manipulation d’un groupe ou d’un autre (GoR, Soroïstes, PDCistes, voir djihadistes) ». Voilà, le tour est joué ! L’opposition ivoirienne toute entière est désormais accusée, avec le soutien de l’ONG Promediation, d’être coupable de la tentative de coup d’État alléguée par le pouvoir ivoirien, des 20 et 21 avril 2021, via l’attaque du camp militaire du 2ème bataillon d’Anyama-Abobo ! Quelle abomination ! Quel outrage à une nation en butte à un régime dictatorial et sanguinaire comme celui d’Alassane Dramane Ouattara ! Maintenant, Promediation remet en selle l’hypothèse des djihadistes qui semblait pourtant être écartée dès le premier paragraphe de son analyse.
Cette ONG mérite-t-elle vraiment la considération des partenaires internationaux qui la financent et tiennent compte de ses rapports ? N’est-ce pas ici un flagrant délit d’incompétence et de collusion avec un régime corrompu, corrupteur et dictatorial ? Comment, alors même qu’on arrête pas de focaliser les regards sur lui, on peut affirmer dans le même paragraphe qu’« Il semble peu probable que l’ancien président se lance dans des aventures miliciennes du passé ayant peu de chance de renverser le pouvoir de la sorte » ?
En effet, Promediation a, sous les yeux, toutes les preuves que le récit de l’attaque du camp militaire d’Abobo-Anyama par quatre assaillants armés d’une kalachnikov et de trois machettes, est entièrement cousu de fil blanc. Cependant, l’ONG qui reconnaît pourtant que « Le « contract » retrouvé sur l’un des assaillants semble en particulier un peu trop explicite pour être réel », n’en tire pas la conclusion que la soi-disant Armée de Libération de Côte d’Ivoire (ALCI) qui aurait attaqué ce camp militaire, n’est qu’une fiction montée de toutes pièces par le régime d’Alassane Dramane Ouattara.
Enfin, au septième et dernier paragraphe de son analyse, l’ONG Promediation conclut, non pas à une tentative de coup d’État, mais bien plutôt à « un test du système de sécurité ivoirien au cœur du pays ». Ici encore question : pourquoi quatre libériens, armés d’une kalachnikov et de trois machettes, viendraient-ils risquer leurs vies, en s’attaquant à un camp militaire infiniment mieux et plus armé qu’eux, pour le simple plaisir de tester le système sécuritaire ivoirien ? Pourquoi le feraient-ils, alors même qu'on sait désormais, qu'ils n'étaient sous contrat avéré de mercenariat avec personne en Côte d’Ivoire ? Pourquoi un groupuscule insignifiant de bandits libériens viendrait-il profiter de l’opportunité du contexte d’insécurité terroriste, pour se faire bêtement tuer dans une attaque complètement asymétrique et insensée contre un camp militaire sans enjeu stratégique décisif en Côte d’Ivoire ?
L’ONG Promediation refuse de se poser ces questions élémentaires parce qu’elle s’est possiblement, compromise dès le départ, dans la validation aveugle des thèses des sécurocrates ivoiriens. Ou est-ce une incompétence ou une faiblesse d’analyse ? Pourquoi ne se pose-t-elle jamais la question de la possibilité d'un auto-complot du régime pour isoler et écarter ses principaux opposants du jeu politique ? Sans doute parce qu’elle fait volontiers les choux gras de « ses payeurs », ici les autorités ivoiriennes actuelles. Concluons donc ce dossier.
Chris Yapi l’a bel et bien montré dans ses précédentes publications ; il n’y a jamais eu d’attaque du camp militaire du 2ème bataillon d’Abobo-Anyama, dans la nuit du 20 au 21 avril 2021. Les personnes tuées et exhibées par le régime Ouattara, sont des prisonniers libériens extraits dans la nuit du 17 au 18 avril 2021 de la prison centrale de Sassandra, où elles étaient détenues pour fait de trafic de stupéfiants. Ces malheureux détenus ont été sacrifiés pour crédibiliser le scénario de l’attaque. Ils ont été certainement manipulés en leur faisant probablement croire à une éventuelle libération, s’ils se soumettaient à une simulation d’un simulacre d’attaque. Chris Yapi doit signaler que ce n’est pas la première fois que de tels scénarios ont été organisés en Côte d’Ivoire. Autant il est vrai aujourd’hui qu’il n’y a jamais eu d’armes de destruction massive dans l’Irak de Saddam Hussein, autant le prétendu coup d’État allégué par Téné Birahima Ouattara dit La Fiole n’a jamais existé. Ces prisonniers libériens, sacrifiés par le cynisme des frères Ouattara, sont tombés dans le coup de filet des autorités ivoiriennes, mis en place après l’alerte donnée le 14 avril 2021 par l’Ambassade de Côte d’Ivoire au Libéria.
En effet, certains détenus libériens de la prison de Sassandra sont des ex-évadés de la prison centrale de Maryland County au Libéria, et tous relèvent du domaine de la délinquance et de la haute criminalité, non pas d’une soi-disant Armée de Libération de Côte d’Ivoire. L’ALCI peut être une invention des services de Téné Birahima Ouattara qui veut ainsi empêcher le retour en Côte d’Ivoire de l’ancien Président Laurent Gbagbo et continuer à ternir, de toutes ses forces, l’image nationale et internationale de l’ancien Premier ministre Guillaume Soro. Le faux coup d’État des 20 et 21 avril 2021 est donc un ridicule et criminel canular.
Que dire alors pour finir de l’ONG Promediation ? Ni honnêteté intellectuelle, ni professionnalisme, ni rigueur de raisonnement logique, n’auront caractérisé son rapport incriminé. Elle s’est gravement méprise sur les faits et les réelles intentions des autorités ivoiriennes, et ce faisant, a participé à la légitimation d’un scénario controuvé de coup d’État, pour accuser sans preuves les hommes d’État Laurent Gbagbo et Guillaume Soro. L’ONG Promediation a écrit un rapport superficiel, sans le moindre effort d’enquête et d’analyse contradictoire sur les faits allégués par les autorités ivoiriennes. Il y a lieu d’interpeller cette ONG devant ses puissants partenaires financiers, dans tous les médias de référence.
Chris Yapi conseille fermement aux principales personnalités politiques salies, injustement accusées et à leurs organisations politiques, d’ester en justice contre l’ONG Promediation pour grave diffamation. C’est absolument dommageable que de telles ONG soient abondamment financées pour produire des rapports biaisés avec autant de légèreté qui, malheureusement, contribuent à intoxiquer les jugements de la communauté internationale, et conséquemment, à impacter ses décisions et résolutions. Quant au régime des Ouattara, Chris Yapi rappelle une carte du tarot qui dit ceci : « Ce que tu espères, tu le crains aussi ».
CHRIS YAPI NE MENT PAS.
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