En 2018 j’avais écrit aux DNA, à la mairie de Strasbourg mais aussi à celle de Schiltigheim où j’habite à propos de l’affichage publicitaire appelant à des événements en général culturels, accroché à des lampadaires ou poteaux téléphoniques ou autres, et qui n’est pas enlevé une fois l’événement passé.
Ce type d’affichage est interdit en dehors des panneaux prévus à cet effet, et constitue une pollution du paysage urbain.
Il a fallu des mois et plusieurs courriers pour que les DNA publient mon texte dans le courrier des lecteurs, et autant de temps pour que la mairie de Strasbourg et celle de Schiltigheim me répondent. Le problème est pris au sérieux par les municipalités, selon les réponses que j’ai eues. Mais les faits contredisent les écrits puisqu’il suffit de verbaliser les auteurs des affiches, ce qui est simple à effectuer mais n’est pas fait.
Entre temps une campagne d’affichage contre la pollution et les déchets abandonnés n’importe où a été menée par la municipalité de Schiltigheim, au moyen d’affiches accrochées sur n’importe quel support un peu partout. Un événement culturel, Exhibitronic, début septembre, soutenu par la ville de Strasbourg et le département, a fait également l’objet également d’un affichage intensif, les affiches étant encore visibles plusieurs jours après la fin de l’événement.
Si des écologistes ne se sentent pas concernés par ce type de pollution, qui va y remédier ?