François !
Le pays se meurt,
Le peuple est à l’agonie,
Le pays a peur,
Le peuple subit ton mépris!
100 taxes depuis 2012,
800 fermetures d’usines,
On en a, plein le bénouze
Et gonfle les invasions sarrasines !
Il paraît que près de Colombey
Certains soirs de pleine lune
Un rire lugubre d’un macchabée
Emplit les rues désertes de la commune.
Comment endiguer cette épizootie,
Cette pandémie, cette fuite en avant
A laisser courir l’économie
Sous le fléau des moulins à vent…
Un président : « Bon à rien ! »,
Un président : « Pourri ! »,
Recevoir une bouse d’un vilain,
Président normal, plus fort que Sarkozy… !
Préfère-t-il sa Limousine,
A une belle Blonde d’Aquitaine,
A sa table une Abondance adultérine
Se complaît de mignardise, d’afféteries mondaines…
A ne plus, de sa terre se soucier,
A ne plus, de sa Culture s’inquiéter,
Un pays, une Nation se meurt,
D’un gouvernement, est déshonneur… !
Royal est par trop déloyale
A promettre des péages, gratuité
Les espaces verts, à protéger
Boues rouges de Gardanne, létales !
Les immigrants sont une chance
Consort Sapin et Gattaz
Font le billet de ces touristes en vacances
Normal,… ne payent pas même leur gaz… !
On ne doit pas tirer sur une ambulance,
Ce n’est pas grande flamboyance,
Mais ces grandes gouvernances
Se gargarisent, ripaille, de toute substance !
On ne pourra pas refaire l’Histoire,
Même avec effort, et ‘blanco’
Tableau noir éponge et ‘stabilo’
De cette Cinquième, plus rien à boire !
Mais,.. cela,.. ami(s),… vous n’êtes pas obligés de me croire…
De me croire !
Christian 06/03/2016